BLOG 2014


Vous l'aurez compris, j'aime écrire et partager des anecdotes, des sensations ou des avis. L'idée de poster de temps à autre un petit article s'est donc imposée avec la création de ce site perso.


DÉCEMBRE 2014


Je suis un pion

 

Dans le cadre du festival Nikon, j'ai participé au tournage du court métrage Je suis un pion réalisé par le collectif Ellipsis.

Les contraintes imposées pour concourir cette année étaient le thème (je suis un choix) et la durée (2min20 maximum). Tourné en un après-midi, en compagnie de la folklorique et extravagante troupe Crisis, ce film d'anticipation met en scène un homme-pion qui ne se satisfait plus de son statut.

Si vous souhaitez soutenir (par votre vote) "Je suis un pion", c'est par ici: http://www.festivalnikon.fr/video/2014/680



Oh oh oh!

 

- Ah au fait, c'est toi le Père Noël cette année.

- QUOI?! C'est quoi cette histoire?!

- Ah on t'a pas dit? Toute la famille a décidé que t'allais le faire.

- Mais on m'a même pas consulté.

- Ouais mais comme t'es comédien... Et puis t'as fait Spiderman y a pas longtemps...

Forcément, devant ces arguments implacables...


Stade Vélodrome 3.0.

 

Durant ces fêtes de fin d'année, j'en ai profité pour faire un tour dans mon jardin préféré, à savoir le stade Vélodrome. C'est la première fois que je le voyais dans sa version définitive et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est une franche réussite. Finie l'horrible architecture passée et ses insupportables courants d'air, Marseille s'est doté d'un superbe stade dans lequel les chants des supporters résonnent enfin comme il se doit. Et puis en plus quand le match se solde par une nouvelle victoire, ça fait au moins deux bonnes raisons d'avoir le sourire.


Spider web !

 

Je suis sur le point de terminer ma vacation de travail au George V lorsque mon ancien service, la conciergerie, m'appelle.

- Anthony, t'es dispo pour une mission tout à l'heure?

- Non, désolé, je finis de bosser et je dois aller tracter pour ma pièce (c'est vrai).

- Parce que c'était pour faire Spiderman pour l'anniversaire du gosse d'un client.

- Alors je confirme, je ne suis définitivement pas disponible.

- Sûr?

- Oui.A moins que ce soit le genre d'offre difficile à refuser bien sûr.

- 200€ de l'heure, ça t'irait?

- (OUH PUTAIN!) Oui, je pense que je peux m'arranger pour être dispo, oui.

 

Alala, qu'est ce qu'on ferait pour de l’argent donner du rêve à un enfant...


NOVEMBRE 2014


2 mises à jour. Enfin!

 

Il y a un petit (long) moment, je décidais de changer de paire de lunettes. Après plusieurs semaines (mois) de visites infructueuses chez les opticiens et d'essayages décevants, j'ai enfin pu trouver mon bonheur chez Jimmy Fairly. Ou plutôt "trouver mon bonheur à un prix convenable". Non parce que de chouettes paires de lunettes, il y en a quelques unes à droite à gauche, hein, c'est pas le problème. Le hic, c'est quand on jette un œil sur le prix affiché sur la branche. Oui, vous savez, quand vous faites les gros yeux et que vous reposez l'article sur son stand.

 

Toujours dans la veine du prix exorbitant, j'ai changé mon téléphone portable. Supportant de moins en moins les caprices de mon iPhone 4 vieillissant, je m'étais décidé à trouver un iPhone 5S avec, si possible, l'idée de ne pas vendre mon rein en échange. Après avoir refusé les bonnes affaires de mon opérateur (qui me propose de doubler le prix de mon forfait), écumé environ 4764 annonces sur le Bon Coin et esquivé une bonne moitié d'arnaques sur ce même site (ouiiiiii bien sûr, tu viens juste de partir en vacances le lendemain du jour où tu as posté ton annonce, je vais donc t'envoyer mon argent sur un site crapuleux et ton intermédiaire de confiance viendra me remettre l'appareil en main propre...), j'ai fini par trouver ce que je cherchais et, pour l'anecdote, le vendeur était un type avec qui j'avais tourné un court-métrage. Bon, il m'avait tué dans le film mais depuis, j'ai pardonné.

 

De nouvelles lunettes, un nouveau téléphone et pour fêter ça, un nouvel article du coup! (ouais, pas folle cette conclusion hein...)


La WWE en live!

 

Aujourd'hui, j'ai réalisé un rêve de gosse. J'ai enfin pu assister à un show de catch américain. Dans un Bercy pas complètement plein, les matchs se sont enchainés dans une ambiance bon enfant.

On a ainsi pu apercevoir la montagne Big Show, un combat de... nains, des bourrins, des voltigeurs, un match de divas (nom donnés aux catcheuses) (oui, bizarre...), un Russe nommé... Rusev (bien vu, hein?) et, clou du spectacle, la grosse star du moment, (le très peu charismatique, à mon humble avis) John Cena.

 

Au rayon des petites déceptions:

- une ambiance largement moins folle que lors des retransmissions télé des US, ceci 'expliquant par la différence de moyens mis à disposition. Donc pas d'effets pyrotechniques ou d'entrées de catcheurs fracassantes.

- le manichéisme beaucoup trop prononcé à chaque combat: un se fait détester dès le début ("j'aime pas les français et les fromages qui puent!") alors que l'autre se met le public dans la poche ("j'aime les français") (oui ça va chercher loin). Et ça a été systématiquement le "gentil" qui a gagné.

- le catcheur qui fanfaronne face au public et dos à son adversaire à terre trois plombes jusqu'à ce que ce dernier se relève et l'attaque "par surprise", ça peut passer une fois. Mais douze...

- toutes les stars préférées de mon enfance étaient aux abonnés absents. Mes idoles Undertaker et Shawn Michaels ont pris récemment leur retraite et mes autres favoris avaient apparemment mieux à faire.

 

Bref, ça restera un bon souvenir, une sortie originale qui m'a fait revenir quelques années en arrière et je reste persuadé qu'un show aux Etats-Unis doit être une expérience à vivre.


Kung fu!

 

Aujourd'hui, une fois n'est pas coutume, j'ai participé à un cours de... Kung Fu Dahara, art martial issu des traditions nomades de l'ouest de la Chine. Je n'ai pas regretté que ma curiosité m'emmène dans ce dojo de Vincennes. Même si pour un non-initié, on peut se retrouvé paumé, c'est une discipline agréable dirigé par un maître très pédagogue. Bon apparemment je ne serai pas le prochain Bruce Lee mais c'était quand même amusant.

issu des traditions nomades de l’ouest de la Chine. - See more at: http://www.cercletissier.com/arts-martiaux-paris/kung-fu-dahara/#sthash.vUsMev5Z.dpuf
issu des traditions nomades de l’ouest de la Chine. - See more at: http://www.cercletissier.com/arts-martiaux-paris/kung-fu-dahara/#sthash.vUsMev5Z.dpuf
issu des traditions nomades de l’ouest de la Chine. - See more at: http://www.cercletissier.com/arts-martiaux-paris/kung-fu-dahara/#sthash.vUsMev5Z.dpuf

Denis Maréchal

 

Je ne suis pas un grand adepte des one men shows. Il y en a sûrement plein de très bons mais le fait qu'ils pullulent de partout ne me donne pas tellement l'envie de me pencher sur le sujet. Je n'étais donc particulièrement enthousiaste à l'idée d'aller voir Denis Maréchal au Théâtre du Temple. Hé bien tant mieux j'ai envie de vous dire car ça m'a réservé une agréable surprise. L'artiste est sympathique, drôle et son spectacle tient la route du début à la fin, sans baisse de rythme. Un bon spectacle donc et une agréable soirée.


De retour sur scène!

 

Graouuuu! "Pour faire un bon petit chaperon" est de retour du 5 novembre au 3 janvier au théâtre Pixel (75018)! Si vous êtes des parents, oncles, cousins, maitresses, nounous dignes de ce nom, n'hésitez pas à emmener votre marmaille et/ou votre âme d'enfant!
Mais pas demain, c'est complet.
Toutes les infos ici: http://on.fb.me/1wuWy1g


OCTOBRE 2014


Happy Halloween!

 

Voici un court-métrage réalisé par Jean-Baptiste Bouyer dans lequel j'incarne Francis, un zombie qui tombe amoureux d'une vivante. Le film s'appelle Dead Buddies et a été tourné l'année dernière.


Les pros de la com'

 

Voilà une publicité qui souhaitait promouvoir l'égalité mais qui fait tout le contraire. La faute a un slogan de très mauvais goût:

"Ce n'est pas important que vous soyez noir ou jaune ou marron ou normal"

Non mais qu'est-ce qui leur passe par la tête lors des réunions entre publicitaires? Y en a pas un à qui ça aurait pu paraître moyen tout de même?...


Dieu fait un crochet à Aix

 

Après un festival d'Avignon riche en succès, La nostalgie de Dieu posait à nouveau ses valises dans le sud, à Aix-en-Provence cette fois pour 3 représentations exceptionnelles. Des salles combles, des rires, du soleil (pas dans la salle, hein) il n'en fallait pas plus pour nous rendre heureux.


Nouvelle Fournée

 

La fournée bouquins précédente étant ingurgitée, il était temps de passer à la suivante. Et dans le lot, si l'on s'en tient aux critiques, il y a du très lourd, notamment deux des romans qui sont régulièrement cités parmi les meilleurs de tous les temps (Voyage au bout de la nuit et Le monde selon Garp). Hâte de découvrir tout ça:

 

- Voyage au Bout de la Nuit (Céline)

- Le Monde Selon Garp (John Irving)

- Le Bruit et la Fureur (William Faulkner)

- Beau comme un Aéroport (Douglas Adams)

- Le Pingouin (Andreï Kourkov)

- Les Dieux Voyagent Voyagent Toujours Incognito (Laurent Gounelle)

- Starfish (Peter Watts)

- Brefs Entretiens (David Foster Wallace)

- Les Choses (Georges Perec)

- Mangez-Le si vous Voulez (Jean Teulé)


Attention génie

 

Je voulais consacrer un petit article à Alexa Meade, une artiste domiciliée à Los Angeles car ses créations sont tout bonnement hallucinantes, en plus d'être hyper originales.

Son truc à elle, c'est de transformer ses modèles en des peintures vivantes. Grâce à son sens du trompe-l’œil et sa maîtrise de la peinture acrylique, le résultat est bluffant. Jugez plutôt:


Plus belle ma ville

 

Je voulais partager avec vous cette vidéo qui a été réalisée pour redorer l'image de Marseille (et sa région). Je la trouve bien faite et elle me tient particulièrement à cœur car j'entends tellement de préjugés et d'échos négatifs (la plupart provenant de gens n'y ayant jamais mis les pieds) sur ma ville natale, Marseille, que je trouve ça insupportable. Alors oui, il y a des coins qui sont vraiment dispensables mais comme partout ailleurs. Il y a aussi et surtout vraiment plein d'endroits à Marseille qui méritent le coup d’œil et dans lesquels il fait bon vivre qu'il serait dommage de passer à côté. Demandez à un Marseillais de vous montrer sa ville et vous verrez que ce ne seront peut-être plus les mots "sale" et "dangereux" qui vous viendront en premier à l'esprit quand vous vous souviendrez de votre séjour.


SEPTEMBRE 2014


Séjour en Belgique

 

Depuis le temps que j'en rêvais (depuis la sortie du film Bons Baisers de Bruges en fait), voilà enfin le moment où je découvrais Bruges, qui plus est avec la chérie pour un week-end romantique. Et la déception fut à la hauteur de l'attente. Dans le film sus-cité, je trouvais amusant le pitch de ces deux voyous qui se planquent à Bruges, l'un d'eux, Colin Farrell, s'ennuyant terriblement dans la ville (d'où cette réplique culte "Fuckiiing Bruges!"). Je n'avais pas percuté que si dans le film, il trouvait le temps long, c'est qu'en réalité, il n'y a vraiment pas grand chose à faire dans cette "Venise du nord". Alors c'est mignon, bien sûr, mais on en fait le tour en une demi-journée, en prenant son temps. Les musées ferment à 17h, les boutiques à 18h et à partir de 21h, il commence à être difficile de trouver un lieu pour dîner.

 

Heureusement, le lendemain, nous avons eu la bonne idée de louer des vélos et de se rendre à la plage d'Heist (une quinzaine de kilomètres quand même) sur la côte nord du pays. Grand bien nous en a pris car il s'agit à ce jour de l'un des paysages les plus étonnants qu'il m'ait été donné de voir. Une plage immense à marée basse avec un énorme brouillard qui empêchait de voir clairement à plus de cinq mètres, ça fait son effet.

 

Enfin, nous avons terminé notre séjour à Bruxelles, où nous avons dégusté gaufres, chocolats et moules/frites (touriiiiistes!) (clichéééés!), tout en se promenant dans cette ville super vivante et agréable.

 


True Detective

 

Contrairement à la majorité de la population, je ne suis pas un fan de séries. J'ai toujours trouvé que ça prenait trop de temps et comme j'ai toujours 1300 trucs à faire, j'ai fait l'impasse sur les séries, au risque de ne rien comprendre lors de discussions entre amis tournant autour du sujet. Jusqu'à présent, seul NIP/TUCK m'avait fait déroger à la règle et je ne l'avais pas regretté. Cette fois-ci, on m'a prêté le blu-ray de True Detective, réputé pour être la série phare du moment. Et argument non négligeable, il n'y a qu'une saison (pour l'instant) et peu d'épisodes. J'ai donc dit banco. Si, comme souvent quand on nous annonce qu'on va prendre une grosse claque, je m'attendais à être plus scotché, j'ai passé un excellent moment avec cette série, à l'allure de très long film. La construction est originale et intéressante, la réalisation au poil et les personnages principaux profonds et remarquablement interprétés (mention spéciale à Matthew McCaunoghey, bluffant).


Game Over

 

Voilà bien un truc qui m'est insupportable: ne pas aller au bout d'un livre. Je me suis toujours forcé, même si la lecture était ardue, de terminer un bouquin. J'ai même lu en entier Au cœur des ténèbres de Joseph Conrad, et croyez moi, ce n'est pas une mince affaire (100 pages uniquement mais ma pire expérience de lecture). C'était donc un objectif et j'ai réussi jusque là à m'y tenir. Oui mais voilà, j'ai craqué. Le fauteur de trouble, c'est Neuromancien, de William Gibson, considéré comme l'un des romans phares de la science-fiction. J'ai tenu environ 70 pages avant de me résigner. Je ne comprenais rien à ce que je lisais et je trouvais la traduction très confuse et pénible. J'ai pourtant essayé de persévérer mais j'avais l'impression de lire sans lire et de perdre mon temps donc il valait mieux arrêter le massacre.


Montage

 

Après plusieurs mois de stand-by pour des raisons indépendantes de notre volonté (absence prolongée professionnelle de mon binôme Mika) (le pauvre est parti notamment sur un tournage de trois mois à Thaïti), la post-production de ma série, La désastreuse expérience speed dating de Jérôme Etxeberria, a enfin repris. Au programme, le montage d'une cinquantaine de scènes déjà tournées (soit environ les 2/3 de la série) en début d'année. Peut-être parce que c'est mon projet, peut-être parce que je suis novice et peut-être parce que ce n'est pas moi qui tiens la souris, toujours est-il que je trouve cette (longue) étape passionnante! Chercher les meilleurs plans et mimiques dans les rushs, trouver les raccords parfaits, moduler le rythme d'une scène, tout cela est hyper intéressant. Et puis nous sommes très contents du résultat pour l'instant, d'autant que la qualité ira en s'améliorant une fois que le mixage, l'étalonnage et l'enrobage général seront effectués. A très vite pour des images!


L'homme qui a dit stop

 

J'ai arrêté le Nutella. Ouais, je balance l'info comme ça, sans préliminaires. Ça peut paraître anodin, et pourtant c'est une révolution dans mon quotidien. Des années de dégustation au petit déjeuner sur des tranches de quatre-quart ou des croissants (raaaaah lovely!) et parfois même en goûter de fin d'aprem sur des tranches de quatre-quart ou des croissants (raaaaah lovely!). Des années où j'entendais constamment que ce n'était pas bon pour la santé, qu'on me proposait de voir des vidéos peu appétissantes mettant en scène le saint-Graal. Je refusais évidemment d'écouter et de voir pour conserver ce plaisir gustatif intense. Et puis un jour, allez savoir pourquoi, j'ai décidé de m'en passer, de prendre des céréales (sans lait) au petit-dej' et vous savez quoi? Ça me convient très bien...

(bon y a quand même un petit pot qui traine dans la cuisine en cas de coup dur hein...)


AOÛT 2014


Tête en l'air le garçon

 

Parfois j'ai envie de me mettre des bonnes grosses claques dans la gueule.

En effet, j'ai une fâcheuse tendance à penser à plein de trucs. Et donc à déconnecter. Et donc à être tête en l'air.

Par exemple, malgré plusieurs frayeurs qui auraient dû me mettre la puce à l'oreille, j'ai réussi à oublier mon écharpe préférée (oui j'avais une écharpe préférée, ne me jugez pas...) (histoire de remuer un peu le couteau dans la plaie, c'est celle qui est en photo) dans le métro. Un petit coup de chaud, je l'enlève et la pose sur mes genoux, mon arrêt arrive, je me lève comme si de rien n'était et la laisse tomber à mes pieds. Facile.

Échaudé par l'expérience, je me suis juré de redoubler d'attention, a fortiori quand je porterai mon chèche préféré (oui, il fallait bien tourner la page...). Vous le sentez venir et vous avez raison, c'est lors d'un (fort sympathique) week-end en Bourgogne que j'ai décidé de rendre sa liberté à mon fameux chèche, sans que j'ai le moindre souvenir de quand j'aurais pu l'abandonner dans la nature.

Et pourtant, en le mettant, je me suis dit que ce serait con de l'oublier celui-là.

Hé bien c'est très con, je confirme.


Expériences diverses

 

Dans la catégorie "Ce mois-ci, j'ai testé pour vous (enfin, pour moi en l’occurrence)", voici trois activités agréables que je ne fais pas tous les trois jours:

 

 - Tout d'abord, le très original HintHunt. C'est une sorte de chasse à l'indice en huis clos. Mais le communiqué officiel sera plus explicite: "Enfermés dans une pièce avec votre équipe, vous avez 60 minutes pour résoudre une série d’énigmes et retrouver la liberté. Vous vivrez une aventure unique où rapidité, logique et esprit d’équipe seront vos meilleurs alliés !". Amusant, stressant et captivant, c'est une chouette expérience (sauf que mon équipe n'a pas réussi à sortir dans les temps) (Loser).

 

 - Ensuite, le moins original mais spectaculaire Lido. Pour mon anniversaire, P-Y m'avait convié dans l'un des plus célèbres cabarets parisiens. Bien qu'extrêmement calibré pour le tourisme, le show reste plaisant sans être ébouriffant, avec quelques tableaux bien fichus, de jolies danseuses (et des danseurs au sourire bright) et de chouettes boobs costumes (et quelques uns affreusement kitschs). D'une manière générale, j'ai préféré le Crazy Horse, qui a plus de caractère et de sex-appeal. Et puis, quand le passage le plus marquant reste celui du type qui fait du diabolo, c'est qu'il y a un problème, non?

 

 - Enfin, j'ai participé à une visite guidée (de quatre heures) en vélo... électrique à la découverte des coins cachés de Paris. Au programme, des anecdotes intéressantes, des découvertes intéressantes et surtout un agréable moment dans la capitale. Et pour ne rien gâcher, ma prise de contact avec cet insigne vélo électrique était plaisante.


Happy birthday King of Fighters!

 

20 ans.

Le 25 août 2014, mon jeu vidéo préféré, celui qui a marqué mon adolescence, a fêté ses vingt ans. Et évidemment, comme dirait l'autre, ça ne me rajeunit pas.

Ce jeu, ou plutôt cette série de jeux, se nomme The King of Fighters (KoF pour les intimes). Il s'agit d'un (sublime) jeu de combat en 2 dimensions et est, pour les initiés, le concurrent direct (et plus obscur) du très célèbre Street Fighter (que j'adore aussi) (surtout quand je gagne).

A l'époque de sa sortie, en 1994 donc, il avait fait l'effet d'une bombe, un jeu révolutionnaire, de par la beauté de ses graphismes, la richesse de son gameplay mais aussi son côté inaccessible, puisqu'il tournait à l'époque exclusivement sur NeoGeo, considérée comme la Rolls des consoles, puisque ses cartouches affichaient des prix exorbitants.

Pour la petite histoire, je me rappelle qu'à l'époque, je décortiquais inlassablement les articles et photos publiés dans les magazines spécialisés et chaque fois qu'un nouvel opus sortait (et encore aujourd'hui j'avoue...) (quand on est fan hein...), c'était pour moi un événement.

Et pour vous montrer à quel point j'étais fan, j'avais passé des heures (des jours même) (voire des mois) il y a plusieurs années à créer avec mes minces connaissances informatiques un site web dédié à l'objet de ma passion (et qui est peut-être, en toute modestie, le site francophone (mondial?) le plus complet sur KoF): http://anthony.legal2.free.fr/


JUILLET 2014


Parenthèse marseillaise

 

Après l'excitant mais éreintant festival d'Avignon et avant de retrouver la grisaille parisienne (cliché certes mais triste réalité) et le boulot, rien de mieux que quelques jours à Marseille pour retrouver la famille et les amis.

 

J'ai par exemple découvert l'excellent brunch du Rowing Club que je vous conseille fortement, que ce soit pour sa vue en rooftop (1ère photo) que pour la qualité des mets.

 

J'ai également fait un petit tour à la Plaine pour dénicher quelques nouveautés street art.

 

Et enfin, je vous montre quelques clichés de journées bien plaisantes dans Marseille et ses environs (Île du Frioul, les Goudes, Callelongue, randonnée dans le chemin du Littoral, Calanques de Sugiton). C'est ma ville et elle me plait. :)

 


Festival Off Avignon 2014

 

Cette année encore, j'ai passé le mois de juillet en Avignon pour défendre (contre 1306 autres spectacles) (!!!) la comédie hérétique "La Nostalgie de Dieu" à l'occasion du fameux Festival Off 2014. Cette fois, la pièce se présentait avec un nouveau comédien incarnant Dieu (oui, alerte spoiler, je ne partageais pas l'affiche avec le vrai Tout-Puissant) et une troisième partie inédite, adaptation du troisième tome de la BD dont la pièce est tirée.

 

Le festival vient de s'achever et laisse derrière lui une ribambelle de bons souvenirs, une majorité de salles complètes (yeah!) et hilares (yeah!), 23 représentations endiablées, des milliers de tracts distribués (et un bon paquet de vents) (non mais qu'est-ce qu'ils foutent là tous ces touristes allemands qui parlent pas un mot de français?!), des dizaines d'affiches collées ou suspendues (la plupart étaient portées disparues dès le lendemain), des couilles techniques (qui se sont arrêtées une fois le gros sel acheté), des orages, des grèves des intermittents, des témoins de Jéhovah qui essaient de me recruter (arrêtez d'essayer de plonger dans mon regard, bordel!), le clébard de la famille Bidochon qui pisse sur notre croix promotionnelle (plusieurs heures de bricolage tout de même), des gens qui parlent pendant qu'on joue, d'autres qui tirent la chasse, des nuits bien bruyantes, du somnambulisme (mea culpa), un appart en mode auberge espagnole bien sympa, des rires, une super équipe et au final une expérience humaine et professionnelle dantesque.

 

Ah et puis de chouettes critiques aussi:


City Local News:

http://www.citylocalnews.com/avignon/2014/07/23/la-nostalgie-de-dieu

 

La Provence:

http://www.laprovence.com/article/loisirs/2973772/la-nostalgie-de-dieu.html


Une blogueuse ayant apprécié le spectacle (c'est le moins que l'on puisse dire):

http://blog.monroman.com/la-nostalgie-de-dieu-de-marc-dubuisson.html

 

Et pour finir, Laetitia et moi avons participé à une émission télévisée aux questions tarabiscotées:


JUIN 2014


Cours de cuisine

 

J'aurais attendu le dernier jour de mon année et demie de validité de bon Smartbox - L'atelier des chefs pour profiter d'un cours de cuisine. Mieux vaut tard que jamais comme dirait l'autre. Et ce fut 2 heures bien sympathiques en groupe avec un chef pédagogue.

Nous avons donc concocté:

 

En entrée: Thon mi-cuit laqué et fine ratatouille au gingembre.

 

Plat de résistance: Côte de veau rôtie, fèves au jus parfumées au citron confit.

Dessert: Millefeuille de rhubarbe, shortbread, chantilly aux agrumes.

 

Et après l'effort, le réconfort avec la dégustation de ce que nous avons préparé. Et c'était très bon, n'ayons pas peur de le dire.


Street Art en France

 

Faire des découvertes street art à Buenos Aires, Londres ou Lisbonne, c'est hyper sympa (ça fait un peu le mec qui se la raconte ce début de phrase) mais il ne faut pas oublier nos vertes contrées.

Et en ce mois de juin, c'est sans surprise à Marseille et Paris que j'ai découvert quelques murs qui m'ont bien plus.

Première étape: Marseille. Voici des exemples de ce que l'on peut trouver dans le quartier de La Plaine:

Place ensuite à Paris (ou plus précisément Aubervilliers) où prend place de façon éphémère le In Situ Art Festival. 40 artistes urbains redécorent la friche industrielle du Fort d'Aubervilliers sur 2 hectares avant sa démolition cet automne.

Quelques clichés de ma visite:


Cheeeeese!

 

A l'occasion de mon séjour à Marseille, j'en ai profité pour renouveler mon book comédien en me faisant à nouveau appel à la talentueuse (et sympathique) Sarah Fafet, qui m'avait déjà tirer le portrait deux ans plus tôt. Voici le résultat de la séance (embaucheeeeeez-moi!):


Lisbonne vacances!

 

Ce printemps est riche en vadrouilles et ce n'est pas pour me déplaire. Après Londres et la Lorraine et avant Marseille puis Avignon pour le mois de juillet, ne voilà t-il pas qu'un savoureux séjour à Lisbonne avec la chère et tendre se présente à moi.

Au programme de ces cinq jours (température parfaite soit dit en passant): ballades à pieds de la plupart des quartiers et de leurs rues pavées, visite guidée du street art lisboète, dégustation des saveurs locales (poissons, pâtisseries (pastéis de Nata) et le meilleur gâteau au chocolat de la création (chez Sofia Landeau)), dodo dans la chambre Warhol chez ArtBeatRooms, goûter sur la Place du commerce, papotage avec les habitants portugais (ils parlent tous en anglais sans accent, les bougres!), vues imprenables sur la ville, petit tour à bord du célèbre tramway 28, spectacle de fado, observation des azulejos (petits carreaux de faïence qui ornent les façades et qui sont partout dans la ville), 1000 photos, rires, détente, etc... Les vacances, c'est le bonheur.


Les lunettes inexistantes (???)

 

La guigne me poursuit.

C'est certainement la même chose pour beaucoup d'entre vous, choisir une paire de lunettes, c'est pas facile. C'est même sacrément compliqué. Soit il n'y en a aucune à notre goût, soit il y en a plusieurs et trancher est un véritable casse-tête.

Après avoir fait plusieurs magasins spécialisés, j'en trouve un dans lequel plusieurs modèles me convenaient. Après avoir procédé par élimination (avec l'aide de la chérie et du vendeur) et pesait le pour et le contre de chaque paire finaliste, on finit par s'accorder sur un modèle. Ouf, soulagement, le choix est fait.

Mais le magasin est sur le point de fermer maintenant, pas le temps de faire toutes les paperasses. Pas de problème, je repasse dans quelques jours, la référence de la paire choisie bien notée.

Les quelques jours arrivent et me voilà débarquant, léger et insouciant, dans le magasin pour finaliser la transaction.

Sauf que tout ne s'est pas passé comme espéré (forcément, hein). Je ne trouve pas la fameuse paire sur les étalages. Pas de souci, je demande à la vendeuse. Même conclusion pour cette dernière qui part en chercher en réserve. Elle n'en trouve pas et me propose un autre coloris, suggestion que je décline poliment (oui, je suis un homme poli). Je demande donc s'il est possible de commander le modèle et après un moment à consulter son ordinateur, elle me dit que cette paire de lunettes n'existe pas.

(???!)

Après quelques minutes de discussion et d'incompréhension (oui, elle existe, je l'ai essayée et prise en photo) ("ah oui, tiens"), un manager intervient pour m'expliquer qu'il s'agit d'un cas vraiment très curieux: en effet, ce modèle n'existe vraiment pas, le constructeur ne le produit pas (il n'y a donc aucun stock) mais - par je ne sais quel miracle - un exemplaire unique et rebelle s'est retrouvé dans leur magasin, le temps que je le sélectionne, avant de disparaitre.

J'ai donc passé tout ce temps chez différents opticiens à me croquer le cerveau et quand je pense enfin trouver mon Graal, il n'existe pas.

Ouais ben comme le Graal en fait...


Dessine moi un... loup!

 

Ah ça, on peut dire qu'ils m'auront bien fait rire ces marmots! Quelques semaines après une représentation pleine à craquer (ouais!) de la pièce jeune public "Pour faire un bon petit Chaperon" (dans laquelle j'interprète le Loup) devant un centre de loisirs, nous avons reçu des dessins des enfants qui avaient pour consigne de reproduire leur scène préférée. Et j'ai l'impression qu'ils ont bien aimé quand le Loup se faisait botter le derrière, les saligauds!

Voici quelques uns des dessins concernant le Loup qui m'auront arraché plus d'un sourire (et vous pourrez constater que certains n'ont pas (encore?) la fibre artistique):


Week-end lorrain

 

Petite escapade le temps d'un week-end sur les terres de la chérie, en Lorraine plus précisément où je n'avais jamais mis les pieds. Erreur réparée donc. Un court séjour durant lequel j'ai pu visiter les chouettes villes de Metz et Nancy et surtout profiter d'un après-midi au calme sur un ponton ensoleillé. La vie...


MAI 2014


London calling!

 

Depuis 2008, je n'avais pas mis les pieds chez nos voisins de l'autre côté de la Manche. Et pourtant ce n'est pas faute d'en parler souvent avec Julien, mon ami de Londres (enfin de Marseille mais de Londres) (vous avez suivi? bon de toutes façons vous vous en foutez...). Et c'est la proximité de son déménagement pour... Taïwan qui a précipité ce nouveau séjour dans la capitale anglaise.

Si on jetait un œil sur la météo du moment, on pouvait voir que les 10 prochains jours seraient entrecoupés de 4 jours de pluie. Devinez quels ont été les 4 jours pendant lesquels j'étais à Londres?...........

La pluie incessante mise à part, ces quelques jours furent évidemment fort sympathiques. Et pour mon plus grand bonheur, ce séjour fut sous le signe du street art. Nous avons parcouru la ville, telle une chasse au trésor, à la recherche d'art de rue. La ville en regorge, notamment à Brick Lane, et le jeu en valait la chandelle.


Oh le bon brunch !

 

L'ouverture récente de quelques pâtisseries spécialisées dans les éclairs m'intriguait ces derniers temps.

 

- Petite parenthèse: savez-vous pourquoi on appelle ce gâteau "éclair"? Au début du 19ème siècle, le grand pâtissier Antoine Carême créa des duchesses (nom original du gâteau) et son succès fulgurant se propagea à la vitesse de... l'éclair dans tout le pays. -

 

Et lors d'une de mes pérégrinations, mon œil (enfin, les deux plutôt) s'arrête sur une vitrine alléchante composée de dizaines d'éclairs colorés et originaux. En rentrant dans la boutique, l'option brunch me séduit immédiatement et je me promets d'y revenir prochainement.
Chose faite, vous l'aurez compris. Et ce brunch chez L'atelier de l'éclair était tout à fait convaincant. En plus d'un buffet de qualité (ouh ces œufs brouillés maison!), la valeur ajoutée vient du fait qu'il est possible de se concocter ses propres éclairs salés et que deux éclairs sucrés sont compris dans la formule (à 29€). 

Tiens, je salive en écrivant ces quelques lignes...


Move your body!

 

Un peu par curiosité et beaucoup pour faire plaisir à la douce et tendre (ouais, je suis un mec comme ça), j'ai testé un cour de gym suédoise! Vu que c'est particulièrement à la mode en ce moment, vous devez connaitre le principe: pendant une heure, en suivant les mouvements du prof sous des musiques entrainantes, on propose à notre corps de l'échauffement, de la cardio, du renforcement musculaire, des étirements, etc...

L'expérience fut plaisante malgré quelques problèmes évidents de coordinations sur des mouvements bien précis. Suer en groupe et avec le sourire, c'est plutôt une bonne chose. Alors vous attendez quoi?


AVRIL 2014


Publicité Belvita

 

Enfin! Quatre mois après le shooting, la publicité Belvita dans laquelle j'apparais au somment de ma forme voit enfin le jour dans nos vertes contrées (ainsi que les contrées allemandes et autrichiennes pour la petite histoire).

Deux types d'affichage: l'affiche classique dans les abris bus et autres panneaux publicitaires. Et la version animée sur les écrans LCD dans les métros équipés.


Justin Timberlake au Stade de France

 

Aujourd'hui, en sortant de scène, je reçois un message que des milliers (millions?) de demoiselles auraient rêvé d'avoir: "j'ai une place gratuite pour le concert de  Justin Timberlake au Stade de France, là, tout de suite, ça te tente?".

Bon, je connais au final assez peu le bestiau et je m'étais arrêté à Cry me a river, Rock your body ou Sexy back, succès d'il y a moultes années. Mais le garçon doit être un showman et une expérience de concert au Stade de France, ça ne se refuse pas.

Me voilà débarqué dans la fosse, sur le terrain où Zidane et ses potes ont rendu fiers le peuple français il y a 16 ans (ouh merde!). Première mauvaise nouvelle: il pleut et il pleut fort. Evidemment, j'ai débarqué comme une fleur et me retrouve complètement détrempé.
Quand, enfin, on arrive à mettre la main sur une sorte de protection/anorak (sur laquelle la boutique doit se faire une marge de +10000%), la pluie s'arrête bien sûr de tomber. Mais on assume et on garde notre protection rouge vif tue-l'amour qui contraste parfaitement avec la classe de Justin.

Étant au milieu de la fosse (je voyais donc un playmobil en train de s'exciter), je n'ai pas trouvé l'ambiance extraordinaire. Le stade, plutôt bien rempli (environ 50 000 personnes), n'est peut-être pas adapté aux nombreuses ballades interprétées par l'artiste. Par contre, le Justin, il se démène comme un beau diable: chorégraphies stylées, piano, guitare et au final 2h30 de show.

Pour conclure, je pense que je préfère les plus petites salles, où l'on voit mieux la scène et où on ressent plus d'ambiance mais Justin Timberlake a incontestablement le sens du spectacle.


Fin du chaperon

 

Après deux mois au théâtre Pixel, avec une bonne fréquentation et de très bons moments avec le jeune public (et ses réactions improbables!), l'aventure "Pour faire un bon petit chaperon" s'arrête.
Six ans après "Le petit Poucet", ce fut un plaisir de jouer à nouveau devant des enfants, d'autant plus avec de très bons amis que sont Pierre-Yves et Laetitia. Le jeune public n'hésite pas à participer, ce qui donne lieu à des situations cocasses et des improvisations amusantes. Et puis, si vous me connaissez un peu, vous vous doutez bien qu’interpréter le loup, méchant rock'n roll de ce conte revisité, était un vrai plaisir de jeu. En fait, on s'amusait sur scène autant que les gosses dans le public!

Et puis les coulisses, où quelques conneries sont à ranger au rayon des bons souvenirs...


La fournée du printemps

 

En ce mois d'avril, voici la fournée bouquins que je me suis concocté pour les prochains mois:

 

- L'homme-dé (Luke Rhinehart) (plus édité donc très dur à trouver)

- Le livre de Joe (Jonhattan Trooper)

- La conjuration des imbéciles (John Kennedy Toole)

- La grande à bouche molle (Philippe Jaenada)

- Un cheval dans la salle de bains (Douglas Adams)

- Neuromancien (William Gibson)

- L'homme dans le labyrinthe (Robert Silverberg)

- Carmen Nevada (Alan Watt)

- Petit déjeuner chez Tiffany (Truman Capote)

- L'enfant de la haute mer (Jules Supervielle)


Le Porteur d'Histoire

 

Après avoir entendu durant de longs mois beaucoup d'excellents retours sur Le Porteur d'Histoire d'Alexis Michalik (dont j'avais vu R&J, l'intéressante adaptation de Roméo et Juliette au festival off d'Avignon), j'arrive enfin à me trouver un créneau pour assister à une représentation dans la (petite) salle de la Comédie des Champs-Élysées.

Alors si, comme souvent quand on entend que des critiques dithyrambiques, je m'attendais à être plus impressionné, la pièce reste très efficace, bien interprétée et porte la patte (douée) de son metteur en scène. Nous assistons dans un décor minimaliste à un très beau récit dans lequel les personnages et les époques s'entremêlent avec brio.  Au final, il s'agit d'une pièce contemporaine de grande qualité, au succès mérité et un metteur en scène dont on n'a pas fini d'entendre parler...


L'arnaque

 

Après une représentation où j'avais abondamment transpiré (oui, je me donne sur scène, madame, monsieur! ^^), je languissais évidemment de rentrer chez moi pour prendre cette fameuse douche qui fait tant de bien. C'est bien sûr souvent dans ces moments là que la couille tombe dans le potage. Je vous épargne les détails mais toujours est-il qu'il m'était impossible de rentrer chez moi, ma serrure étant abîmée. Je me vois donc contraint de faire appel à un serrurier. J'avais entendu parler de prix exorbitants, je tape donc sur mon smartphone "serrurier pas cher Paris".

L'opératrice m'annonce un coût de 70€. Raisonnable me dis-je. Puis elle précise qu'en fonction de la porte et de l'action à réaliser, le prix pourrait être plus élevé. Quand je lui demande, c'est quoi la fourchette de prix, elle est incapable de me répondre. Mouais.

Pessimiste, je me dis que je risque d'en avoir pour 400€.

Le rendez-vous est pris avec le serrurier qui doit arriver d'ici 40 minutes.

Il arrive 2h20 plus tard. Ça partait bien.

Bon après 1h d'efforts acharnés, il arrive à me faire rentrer chez moi (et à fracasser mes cadenas).

Vient alors le moment de la facture. Alors je sais qu'on était le week-end et qu'il y a une majoration, que c'est pas donné tout ça tout ça mais... 1034€?!!!
1.0.3.4.€.!.!.!.

Mille trente quatre putains d'euros?!!!!!!

Sérieusement?

Sérieusement.


Sensation nouvelle

 

Alors je dois faire partie des 17 dernières personnes de plus de 14 ans sur Terre à n'avoir jamais fumé de ma vie (non même pas une latte). Il n'empêche que pour les besoins d'un projet étudiant, j'ai dû m'adonner aux joies de la très en vogue cigarette électronique. Et malgré, oui j'avoue, la petite appréhension, l'acte s'est passé assez naturellement et la sensation ne m'a ni transcendé ni dégoûté.


MARS 2014


Mes mains au cinéma!

 

Voici une petite participation de mes mains dans une publicité sur les Industries Technologiques qui passe au cinéma (oui m'sieurs dames!).

Ma double apparition se fait au tout début (la page qui se tourne) et à la 13ème seconde (la main qui donne le téléphone à la madame).


La phrase qui change la journée

 

Aujourd'hui on m'a dit quelque chose qui s'est transformé en un énorme compliment. Un truc qui n'a l'air de rien comme ça mais qui m'a mis en joie pour la journée. Et cette phrase toute simple, c'est: "Tiens, tu me fais penser à Albator".

ALBATOR quoi! Mon idole de jeunesse!


La Maîtresse en maillot de bain

 

A chaque fois que je vais au théâtre, je me fais la même réflexion: il faut que j'y aille plus souvent. Et ce n'est pas La maitresse en maillot de bain, vue au café de la gare, qui me contredira. Mandatée par le ministère de l’Éducation Nationale, une psychologue atterrit dans la salle des maîtres d'une école maternelle. Sur ce postulat simple, la pièce fait la part belle aux situations amusantes, le tout dans un rythme qui ne faiblit pas et avec des comédiens bien distribués (dans des rôles certes caricaturaux). Bref, un bon moment pour une Maîtresse dont le succès n'est pas usurpé.


Exposition Brassaï

 

La curiosité m'a poussé jusqu'à l'Hôtel de ville et l'exposition de l'artiste franco-hongrois Brassaï. Fil rouge du travail du photographe, Paris est une formidable source d'inspiration. Au fil de ses déambulations (le plus souvent nocturnes), Brassaï nous offre plusieurs clichés de grande qualité, avec des jeux de lumière de toute beauté.

De plus, il est toujours agréable d'avoir des témoignages visuels du Paris des années 30, avec ses couples, ses figures cabossées des Halles ou l'atmosphère des quartiers chauds ou des Folies Bergère.


Miam miam!

 

Ces derniers jours, j'ai testé quelques restaurants originaux et je voulais vous en faire part.

 

* Tout d'abord le classieux Miss Kô sur l'avenue George V. A force de passer devant à chaque fois que j'allais au travail, j'ai fini par y aller. La décoration est très branchée, la fréquentation (un peu trop) également, ce n'est pas donné sans être hors de prix mais l'essentiel est là: c'est bon.

Et puis double mention spéciale : 

 - le Bubble Tea Pêche/Fraise: un thé froid goûtu et fun (ouais, les p'tites bubulles de tapioca, j'adore!)

 - le design de la communication avec ces corps tatoués, ça a de la gueule.

* Sur les conseils pressants de P-Y, je suis également allé faire un tour au Rainforest Café à Disney Village. L'originalité du restaurant (outre se trouver à 45 minutes de RER de chez moi) est d'avoir un décor de jungle. Les problèmes sont que c'est gustativement vraiment quelconque, abusivement cher pour ce que c'est et être placé à côté de la fausse cascade est une vraie mauvaise idée: il fait froid et on s'entend pas. Bref, à éviter. Merci P-Y.

 

* Enfin, j'avais envie de tester un bon burger et Paris New York est parait-il un endroit incontournable. La réputation n'est pas usurpée. Si on se prend pas une claque dans la gueule en croquant le burger, ça reste d'une qualité tout à fait satisfaisante. Écrire ces quelques lignes me donnent envie de burgers, tiens. Une adresse à conseiller?


De retour sur scène!

 

Plusieurs années après Le Petit Poucet, je tente à nouveau l'expérience du spectacle jeune public dans Pour faire un bon petit chaperon.

Et j'ai le plaisir d'interpréter le loup et de faire peur aux petiots.

Donc si vous avez des enfants, des petits cousins ou que vous avez gardé une âme de minot, n'hésitez pas à venir.

Du 8 mars au 27 avril, les samedis et dimanches a 15h00
Du mercredi au dimanche a 15h00 pendant les vacances de Pâques
Théâtre Pixel, 18 rue championnet 75018 Paris
 Métro Simplon ou Jules Joffrin.

A bientôt les garnements!


FÉVRIER 2014


2ème session de tournage

 

Un mois après avoir lancé la première session de tournage de La désastreuse expérience speed dating de Jérôme Etxeberria (qui sera rebaptisée FAAAIL!), la seconde a vu le jour.

Même équipe, même décor, nouvelles comédiennes toujours au top et nouvelles scènes tournées avec efficacité.

Plein de bons moments qui, je l'espère, seront bien retranscrits à l'écran.


Amis du bon goût, bonjour!

 

Le monde part en couille, c'est moi qui vous le dis...


JANVIER 2014


1ère session de tournage

 

Enfin!

Après un an et demi de préparation, La Désastreuse Expérience Speed Dating de Jérôme Etxeberria a enfin abouti sur du concret avec le tournage des premiers épisodes. Quatre jours intenses, 24 scènes, un timing serré mais une super équipe, efficace et impliquée.
Merci à toutes celles et ceux qui ont contribué de près ou de loin au tournage de cette première session.

Et forcément, on y prend goût et il y a encore plein de super séquences à tourner donc vivement la suite.

En attendant, vous pouvez découvrir des photos tirées de ces quatre jours pour visualiser le décor, l'équipe, le matériel et mes comédiennes préférées:


Publicité OCS

 

Orange a sorti une chaine intitulée OCS spécialisée dans les séries avec diffusion dès le lendemain de la sortie US avec sous-titres français. Et pour promouvoir cette fameuse chaine, des vidéos de tutoriel ont été tournées pour certaines des séries phares. J'ai été  recruté pour interpréter un geek vantant les mérites du téléchargement frauduleux de Game of Thrones. Le but était de donner un maximum d'informations dans un jargon technique (dont je ne comprends pas un mot) en un minimum de temps, pour qu'en comparaison la simplicité d'OCS apparaisse au grand jour.
C'était une expérience amusante, la publicité est sortie sur Youtube et a été vue plus de 150 000 fois en quelques semaines.


Fête du personnel George V

 

Chaque début d'année, le George V organise une soirée réservée à son personnel dans l'un de ses plus prestigieux salons. Au programme, plusieurs centaines d'employés en tenue de soirée, buffet de qualité (les banquets ayant mis les petits plats dans les grands), spectacles à thème de chaque service et enfin dance-floor.

Et pour en revenir à ce fameux spectacle, le thème était "mythes et légendes" pour une durée d'environ 3 minutes.

Après avoir méticuleusement choisi notre costume, nous nous sommes adonnés à un Harlem Shake (oui bon...) bancal certes mais amusant.

Et puis une sorte de photomaton était disponible en libre service alors vous pensez bien qu'on ne s'est pas privés...


Première fournée 2014

 

Pour cette première salve de romans à lire en cette nouvelle année, je pressens du très bon:

 

- J'irai cracher sur vos tombes (Boris Vian)

- Chroniques martiennes (Ray Bradbury)

- Mort aux cons (Carl Aderhold)

- Portnoy et son complexe (Philippe Roth)

- Caïn (José Saramago)

- Running Man (Stephen King)

- Robe de marié (Pierre Lemaître)

- Kiss kiss (Roald Dahl)

- Rafael, derniers jours (Gregory McDonald)

- L'assassin à la pomme verte (Christophe Carlier)


Albator au cinéma

 

C'est peut-être un détail pour vous mais pour moi, c'est un évènement! Albator alias Capitaine Harlock, l'idole de ma jeunesse, mon rêve de comédien, la classe à l'état pur voit enfin le cinéma lui tendre les bras avec des images de synthèse du plus bel effet.

Bon, pour être tout à fait honnête, l'enthousiasme est retombé après le visionnage du film, ce dernier étant trop complexe, brouillon et manquant cruellement de souffle épique.

Mais Albator, quelle classe, mon Dieu!


Nouvelle année

 

Comme le veut la tradition, à chaque passage vers l'année suivante, nous autres humains nous échangeons nos vœux. Je ne dérogerai donc pas à la règle et vous souhaite donc le meilleur.

Et puis je conclurai par cette étiquette de chez Monoprix (à l'occasion du Nouvel An Chinois) qui a réussi à me faire sourire (ils sont décidément très bons avec leur nouvelle communication à base de jeux de mots pourris):