BLOG 2019

DÉCeMBRE 2019

Mon beau pull de Noël

 

Sans déconner, il n'a pas la mega classe mon pull de Noël ? :) 

Bas les masques

 

Cette photo (et ce texte) sont l'oeuvre de PoPesie, un type très drôle que je suis sur Twitter. Effectivement, l'intérêt de ces masques a priori inutiles se fait tout de suite plus clair quand on découvre les visages nus des héros de notre défense, qui perdent d'un coup pas mal en charisme.

Dark Crystal: Le Temps de la Résistance

 

Faire en 2019 une série avec des marionnettes, qui plus est une adaptation d'un film culte, est un pari risqué. Mais le défi a été relevé haut la main. Ce mélange de marionnettes et d'effets spéciaux a dû être un travail titanesque et il fallait une équipe de passionnés pour réaliser cet exploit. Après un petit temps d'adaptation nécessaire (des marionnettes, c'est pas tous les jours qu'on en croise sur nos écrans), on entre pleinement dans cet univers fantasy aux décors oniriques à travers une fresque épique durant laquelle de valeureux Gelflings tenteront de renverser les cruels Skeksès qui règnent sur leur monde. Tous les personnages sont remarquablement doublés (grâce à un casting XXL) et en particulier ces fameux Skeksès d'ailleurs, qu'on adore détester (notamment Chambellan doublé par Simon Pegg). Bref, une perle de fantasy, passionnante. Seule cette fin de saison qui n'en est pas vraiment une est un peu frustrante. Mais ça veut dire que quelques épisodes de bonheur en plus devraient débarquer prochainement.

 

 Le secret Santa de l'angoisse

 

C'est la tradition avec mes amis de Marseille, tous les ans on organise un secret santa avec tirage au sort. Et c'est la tradition aussi, tous les ans il y ades cadeaux ridicule puisque la règle est qu'on doit profiter de son cadeau toute la soirée. Donc forcément, il y a toujours des costumes ridicules ou des accessoires sexuels dans le lot. Par exemple, j'ai offert un "somptueux" costume intégral de poussin. En contrepartie, si j'ai évité la tête de cul, le maillot de bain avec bite apparente ou le caleçon rembourré, le destin n'a pas été spécialement tendre en me donnant ce costume extrêmement moulant et malheureusement en une seule pièce de Flash. Alors on a bien rigolé mais passer la soirée dans cet accoutrement pas très confortable (la qualité n'étant pas le maître-mot), je ne le conseillerais pas à n'importe qui.

Le sosie

 

Un jour où je jouais Gretel & Hansel à La Scène Parisienne, je retrouve dans mon sac de costumes en loges un flyer. Aude me dit que c'est Charlenry (le comédien avec qui je suis en alternance pour le rôle d'Hansel) qui l'y a déposé parce qu'apparemment, je jouerais dans un autre spectacle en secret. Je regarde donc ce fameux flyer et "oh putain, c'est vrai qu'il me ressemble vachement ce Fouad Reeves, là, c'est fou !". En général, quand les gens te sortent des "c'est fou comme tu ressembles à bidule", ça parait rarement pertinent mais là, force est de constater qu'il a vu juste.

Chiens fous

 

Juste une photo d'un spot street art que j'aime bien à Marseille, avec bibi en bonus avec ses potos chiens enragés.

Crashing (UK)

 

Je ne le dirais jamais assez, depuis Fleabag, je suis complètement dingue du talent de Phoebe Waller-Bridge.  Quand j'ai appris qu'elle avait créé quelques année plus tôt une autre série courte de six épisodes, qu'elle avait écrite et dans laquelle elle jouait également, j'étais très excité à l'idée de la découvrir. Parfois, quand on attend trop d'une oeuvre, on peut être déçu. D'autant qu'à ma connaissance, peu de gens connaissent vraiment Crashing (version UK puisqu'une autre série éponyme et qui n'a rien à voir existe aux Etats-Unis). Heureusement, c'était sans compter sur le talent de l'incroyable Phoebe qui signe encore une comédie très fraîche, drôle, avec des dialogues ciselés et comme d'habitude des personnages hauts en couleur, bien écrits et attachants (et bien interprétés pour ne rien gâcher). Bref, un bonbon acidulé à l'humour très anglaisqui m'a complètement conquis et qui mériterait d'être connu (et une nouvelle saison !).

 

Tournage Nikon

 

Comme chaque année,  le festival de courts-métrages organisé pointe le bout de son nez et je prends grand plaisir à y participer. Cette fois, le thème est "Génération" et comme d'habitude le film ne doit pas dépasser les 2min20 (et c'est duuuur!). Il y a également une deadline: le 15 janvier. Pour cette édition, nous allons proposer avec Mika sous l'égide de notre association ANKA Films: iDAM, que j'ai écrit avec Pierre-Yves et qui est réalisé par Mika. Une histoire d'humanoïde sous fond d'anticipation qu'on a tourné lors d'un week-end en Picardie. Rendez-vous donc dans quelques pour découvrir (et soutenir) notre film. En attendant, place au montage et c'est une étape qui me plait beaucoup ! 

Planète Coworking, Saison 1 complète

 

Et voilà, la première saison pilote de cette belle aventure Planète Coworking prend fin avec ce sixième épisode (lien ci-dessous). Je vous invite donc à découvrir cette mini-série réalisée sous forme de faux documentaire et créée par mon pote Arno Le Liégard.
Voici les épisodes:

Épisode 1Épisode 2,  Épisode 3
Épisode 4Épisode 5

et l'Épisode 6 (final) donc :

Le lobby grande classe

 

Comme chaque année, le lobby du George V est aménagé pour célébrer les fêtes de fin d'année et ce n'est jamais dans la demi-mesure. Cette fois encore, c'est une décoration impressionnante qui orne l'entrée du meilleur palace du monde (quoi, pas objectif?), avec comme toujours du raffinement et de l'impressionnant, et je vous invite chaleureusement à aller y jeter un oeil si vous passez dans le coin.

 

 

NOVEMBRE 2019

Une VIP dans le spectacle

 

Aujourd'hui, nous avons eu l'honneur d'accueillir une invitée de marque dans notre spectacle "Greta euh Gretel & Hansel" ! :-p

 

Et après le coup de coeur de La Muse et Télérama, voilà qu'on se retrouve dans Le Parisien:
https://bit.ly/34PfpJr

 

Pour rappel, Gretel et Hansel c'est tous les samedis et dimanches à 11h à La Scène Parisienne jusqu'au 31 décembre.

Toutes les infos ici:

Nouveau jeu

 

Après des mois de travail psychologique intensif, on a enfin réussi à organiser une soirée jeux de société chez Pierre-Yves (oui, c'est comme ça, même si il ne veut pas le reconnaître, il a un appart à soirées). Et c'était bien marrant, notamment ce jeu que j'ai acheté un peu à l'aveuglette mais qui avait l'air bien débile (donc parfait): Mâche-Mots. Alors on n'a pas l'air malins avec nos écarte-bouches mais on rigole bien, l'essentiel est donc assuré.

 

Réouverture du MK2 Nation

 

Ce MK2 Nation qui ouvre à nouveau ses portes, c'est peut-être un détail pour vous mais pour moi, ça veut dire beaucoup ! C'est mon cinéma de quartier et j'y allais donc régulièrement jusqu'à sa fermeture il y a deux ans. Deux ans ! C'est long deux ans à attendre, surtout quand ce n'était pas prévu. Plusieurs fois la date d'ouverture a été repoussée et à chaque fois j'étais là le jour J, ravi de fêter la réouverture de mon cinéma voisin et repartant dépité avec une nouvelle date à me mettre sous la dent. Bref, maintenant il est bel et bien de retour mais les deux premières étaient folkloriques. Le premier film que j'ai vu était une simulation de période glaciaire, le chauffage ne marchait pas et c'était comme une projection en plein air sauf que novembre à Paris, c'est compliqué. Pour le deuxième film, alerte incendie et évacuation. Bon, on va dire que l'essentiel est qu'il soit de retour.

 

Nouvelles photos de book

 

En tant que comédien, il est important de renouveler son book photos car on évolue (c'est la version soft de "on vieillit") et cela permet relancer les agences et directeurs de casting avec de nouveaux portraits. Pour cette année, j'ai donc posé devant l'objectif de mon ami Grégory Le Fourn, alias Hikofoto. Comme il faisait un temps moyen moyen (c'est la version soft de "dégueulasse"), on n'a pas pu faire les photos en pied en extérieur et c'est donc reporté à une date ultérieure. De mon côté, il est donc temps de préparer mes mails de relance.

Jeu de mains

 

Et puis bon, tant qu'à faire, vu que je fais également des castings pour du détail mains de temps en temps, j'en ai profité pour faire quelques clichés de mes mains.

Les Séries de novembre :

 

 * KILLING EVE: 

Je voulais adorer Killing Eve puisque je vénère son showrunner, la génialissime Phoebe Waller-Bridge (Fleabag pour les inconscients qui seraient passés à côté de ce chef-d'oeuvre), je l'ai malheureusement trouvé juste pas mal. Le fait de ne pas accroché aux deux comédiennes principales n'a certainement pas aidé. Eve Polastri, agent du MI5, rompt la monotonie de sa vie lorsqu'elle se met à traquer une tueuse psychopathe et fantasque surnommée Villanelle. La série est bien écrite et la relation de chasse / séduction entre les deux personnages principaux est intéressant.  Mais justement, je trouve que cette relation ambigüe est mal exploitée, la faute à une mise en scène plate et des actrices peu convaincantes (mais visiblement beaucoup de personnes pensent le contraire).  En gros, j'ai trouvé les deux saisons de Killing Eve pas désagréables mais dispensables.

 

 * YEARS AND YEARS: 

Le concept de Years and Years est très intéressant: on suit les Lyons, une famille de Manchester, sur quinze années, suite à la sortie de la Grande Bretagne de l'Europe.  Nous faisons face à une dystopie captivante, une sorte de Black Mirror feuilletonnant, avec un casting convaincant et un propos aussi troublant que dérangeant. Récit d'anticipation à l'écriture très fine, cette série est d'autant plus glaçante que ce qu'elle décrit pourrait arriver dès demain. Years and Years est donc une vraie (très) bonne surprise, une dystopie intelligente qui traite avec brio de géopolitique, de nouvelles technologies, des dérives de notre monde sans négliger ses personnages et les relations familiales. Un électrochoc, anxiogène, pas très optimiste mais indispensable et brillant.

 

 

Exposition Degas

 

Le (très beau) Musée d'Orsay a décidé d'offrir à Edgar Degas une exposition sur ses oeuvres touchant de près à l'opéra, qui reste le thème central de ses travaux. En plus d'une impressionnante maquette de l'Opéra Garnier, de nombreuses peintures (voire même des croquis, dessins ou sculpture) de l'artiste français sont exposées. Le talent de l'impressionniste parisien est évident et il est plaisant de découvrir les coulisses de l'opéra ou des cours de danse. Le bémol, c'est que l'exposition n'est pas très variée et qu'on a l'impression d'assister souvent aux mêmes scènes (de nombreuses danseuses se touchant la cheville par exemple).

 

A l'époque déjà, des selfies...

 

« Selfie oklm devant une baston entre hommes nus chelous et aigles vénères », je crois que c’était plus ou moins ça le nom de l’œuvre.

 

En plus de Degas, de nombreuses oeuvres de maitres (Monet, Manet, Caillebotte, Van Gogh, Renoir,...) étaient exposées et c'est toujours un plaisir de pouvoir les observer de près et en vrai. 

J'ai été aussi impressionné par cet immense tableau de Yan Pei-Ming, "Un enterrement à Shanghai" et par le réalisme de ce travailleur dans "La Paye des moissonneurs" de Léon Lhermitte.

 

Fantaisies Photoshop (la suite)

 

Je les aime bien ces petits détournements, voici donc quelques nouvelles images photoshopées qui m'ont fait sourire. Saluons au passage l'imagination de ces adeptes de la retouche qui arrivent parfaitement à transposer une photo (généralement d'animal sauvage) prise sur le vif dans le monde des humains ou à l'adapter à la culture populaire.


OCTOBRE 2019

Les Séries de la rentrée :

 

 * HIPPOCRATE: 

Son film éponyme était déjà une franche réussite, Thomas Lilti confirme l'essai avec sa série Hippocrate sur Canal +. Il propose une plongée passionnante et accablante dans le quotidien d'un personnel hospitalier. L'histoire se concentre sur quatre jeunes soignants qui se verront confier plus de responsabilités que prévu pour pallier à une quarantaine mettant les médecins titulaires à l'écart pour une durée indéterminée. Grâce à un casting parfait (que ce soit les protagonistes principaux ou secondaires), des personnages bien écrits et interprétés et une réalisation qui nous emporte avec beaucoup de réalisme, de justesse et d'humanité  dans ce milieu hospitalier impitoyable, HIPPOCRATE est une très belle réussite. En voilà une série française de grande qualité !

 

 * THE NAKED DIRECTOR: 

J'aurais dû plus me méfier quand Pierre-Yves m'a conseillé cette série Netflix vu qu'il m'avait vivement recommandé Umbrella Academy que j'avais détesté. Bon, pour le coup, cette fois ce n'était pas mauvais mais même si le pitch était plutôt intéressant (un réalisateur de pornos japonais qui révolutionne le secteur dans les années 80), le résultat reste plus fade que ce qu'il promettait. L'exotisme japonais est plutôt séduisant, le sujet intrigant mais à aucun moment la série ne m'a emballé, j'ai le sentiment qu'elle aurait pu être tellement mieux sur tous les points. Le comédien principal est tout de même crédible, contrairement à quelques uns de ses partenaires qui en font des caisses. Bref, la saison 2 déjà commandée sera sans moi.

 

 * LES SAUVAGES : 

Après la très bonne surprise Hippocrate, je me lance dans une nouvelle création française signée Canal +. Encore une fois, la chaîne cryptée réussit son coup et encore une fois (et ça fait bien plaisir) le casting est très bon. Mini-série d'anticipation, Les Sauvages nous présente une France qui s'embrase suite à la tentative d'assassinat du nouveau président de la république, qui est d'origine maghrébine et qui devait représenter l'espoir de réunir le peuple. Deux familles qui sont liées mais que tout oppose se déchirent. Entre le thriller politique, le récit d'espionnage et le brûlot sociétal, Les Sauvages avec plaisir, malgré quelques facilités de scénario et de nombreux moments où la post-synchronisation fait tâche.

 

Planète Coworking, ça continue !

 

Et voici les épisodes 4 et 5 de la série Planète Coworking dans laquelle j'interprète ce très étrange Sylvain. Je vous rappelle qu'il s'agit d'un programme court tourné sous la forme d'un faux documentaire et que tout a été crée par mon ami Arno Le Liegard.

La jolie ville

 

Ma ville, vous savez, je l'aime et j'ai toujours envie de la défendre contre les gens qui lui crachent dessus sans la connaitre. Une petite randonnée en plein soleil dans ce cadre (Calanque de La Vesse, pour info) début octobre, c'est pas partout en France qu'on peut se le permettre, non? ;)

C'est tellement agréable de voir la mer, l'horizon, la lumière. Quand tu rajoutes la famille et les amis, ça fait des parenthèses dans le sud qui redonnent la patate.

La jolie maman

 

Et puisqu'on était dans un cadre plutôt pas mal, que la lumière était belle et que ma maman aussi, j'en ai profité pour la photographier.

Noces de platines

 

Mes grands-parents ont fêté leur 70 ans de mariage (!!!) et c'était une belle fête de famille qu'il n'était pas envisageable de louper. C'était aussi l'occasion de sortir enfin mon 5D pour prendre quelques clichés de mes proches.

Ma tête au ciné

 

A l'occasion de la soirée de projection " La cave se rebiffe" à Lagny-sur-Marne, deux de mes films ont été projetés sur l'écran de cinéma de l'Espace Charles Vanel: Une bonne idée (de merde) et Les deux morceaux de ma femme. C'est toujours un plaisir et une fierté de voir le fruit de son travail sur un écran géant agrémenté de rires de spectateurs.

 

 

SEPTEMBRE 2019

Malaise TV

 

A côté, court-métrage réalisé par Jérôme Piel-Desruisseaux que j'ai écrit et interprété, enchaine les festivals (et quelques prix) depuis sa sortie et ce n'est pas pour nous déplaire. Cette fois-ci, il a été sélectionné au festival de courts-métrages de l'Isle d'Adam et était projeté dans la salle de cinéma Le Conti. Pour la petite histoire, on est reparti avec le prix "Le bisou du jury" (oui, bon...). Mais l'anecdote dont je me serais passé, c'est le présentateur qui s'approche vers moi et me tend une paire de lunettes de soleil qu'il me demande d'enfiler. Puis il me fait lever devant tout le monde et dit à toute la salle "Ce soir, nous avons l'immense honneur de l'avoir parmi nous. Mesdames, messieurs, je vous demande d'applaudir Keanu Reeves ! Alors... how are you Keanu?" Ce malaise...

 

Urban week 2019

 

Pour le dingo de street art que je suis, me retrouver à l'Urban Week sur le parvis de la Défense ne pouvait qu'être un grand bonheur. Sur un espace assez conséquent, de grandes fresques étaient à disposition de plusieurs artistes (dont certains étaient en train de terminer leurs oeuvres sous nos yeux) pour un résultat réjouissant. Avec des styles complètement différents et des couleurs dans tous les sens, j'en ai pris plein les yeux et en redemande. Et puis je suis reparti avec un petit souvenir signé Raf Urban.

 

Le génie récompensé

 

Je ne sais pas comment gérer tout l'amour que j'ai pour le talent de Phoebe Waller-Bridge. Pour rappel, elle a écrit et interprété Fleabag, une mini série qui fait office de chef-d'oeuvre à mes yeux et probablement mon plus gros coup de coeur artistique de ces dernières années. Et que cette petite série sortie discrètement remporte les Emmy Awards de meilleure série comique, meilleure comédienne, meilleur scénario et meilleure réalisation, ça me remplit de joie !

 

Gretel & Hansel, le retour

 

Après avoir joué dans la petite puis la grande salle de l'Essaïon d'avril à juin, Hansel et Gretel se retrouvent à nouveau pour une aventure excitante: en effet, notre spectacle a été choisi pour accompagner l'ouverture d'un nouveau théâtre et représenter sa programmation jeune public. Et ce théâtre, c'est La Scène Parisienne, très belle salle qui a en plus la bonne idée d'être hyper bien placée puisqu'elle se situe sur les Grands Boulevards, voisine des Folies Bergère. Nous voilà donc tous les samedis et dimanche à 11h jusqu'au 31 décembre (je joue en alternance avec Charlenry donc je n'y serai pas tous les week-ends).

Pour plus d'infos et des tarifs tout doux, il y a toujours ce bon vieux lien billetreduc.

Planète Coworking, la série

 

Les voici enfin les trois premiers épisodes (sur six) de la série Planète Coworking écrite et réalisée par mon ami Arnaud Le Liegard. Tournée à Lyon avec une super équipe, cette série raconte sur le format documenteur la vie d'un espace coworking, suivant essentiellement quatre personnages dont Sylvain, un type socialement inadapté, que j'interprète. N'hésitez pas à vous abonner à la chaine pour ne pas louper les épisodes suivants !

Expérience VR

 

Mes premières expériences avec les casques de réalité virtuelle étaient très mitigées. Je trouvais ça désagréable à l'oeil et au final pas si amusant. Mais ça c'était avant de découvrir Elven Assassin, un jeu d'archers hyper amusant (et fatiguant) qu'on a testé avec Pierre-Yves dans un lieu dédié. Avec un casque recouvrant les yeux et les oreilles et un appareil dans chaque main, les sensations de bander un arc sont très réalistes et le jeu super fun. Bon, on en sort en nage et avec les bras douloureux mais l'essentiel est là, on s'amuse. Vivement la prochaine partie !

La croisière s'amuse

 

Le Four Seasons George V ayant été élu hôtel de l'année par le réseau Virtuoso, notre employeur a organisé pour ses employés une très belle croisière sur la Seine afin de fêter ce titre honorifique dignement. Tous vêtus de blanc, nous avons passé une bien agréable soirée dans un cadre qui ne laisse pas indifférent.

 

Publicité GRDF

 

Voici une petite publicité pour GRDF tournée il y quelques mois avec mon amie Céline et qui a fini par sortir alors qu'on ne l'attendait plus. Le réalisateur nous a planté le jour du tournage, la production a dû trouver un plan B de dernière minute. 


août 2019

Une chance sur un million !

 

On dirait pas comme ça mais l'histoire de cette photo est incroyable. J'aurais même jamais dû la voir. Mais la vie réserve parfois de sacrées surprises. Voici le contexte: je reçois un message avec cette photo d'une certaine Pauline, que j'ai rencontré un peu plus tôt dans l'année dans le désert du Wadi Rum en Jordanie. Ce qui est plutôt surprenant car elle n'a jamais croisé Pierre-Yves, présent à mes côtés sur ce selfie. Elle est partie en vacances avec un pote à elle et je ne sais pas pourquoi dans la conversation, le gars lui dit: "tiens, c'est marrant, l'année dernière, à Marrakech, on a demandé à deux gars de nous prendre en photo et ils ont glissé un selfie". (oui, c'est une blagounette dont je raffole) Il lui montre la photo et PAF! elle me reconnait. Non mais c'est quand même dingue, non, quand on y pense? La probabilité que je retombe sur cette photo était quasi nulle. Je n'en reviens toujours pas.

 

Séries de l'été

 

 * BOJACK HORSEMAN: 

Je n'ai vu pour l'instant que les deux premières saisons de Bojack Horseman mais cela suffit pour se rendre compte de la qualité de ce programme. Grâce à une écriture de tou premier ordre, on suit les tribulations de cet anti-héros mégalo et dépressif avec un plaisir certain.  Du fait qu'il s'agisse d'un animé, tous les délires sont possibles (à commencer par cet univers qui mélange naturellement des humains avec des animaux... humains) et les auteurs ne s'en privent pas. A la fois drôle et dramatique, la série fourmille d'idées lumineuses tout en se permettant d'aborder de nombreux thèmes, comme la dépression, le matérialisme, la solitude et bien d'autres. Et Hollywood en prend aussi pour son grade. Bojack Horseman est un mélange de créativité, d'humour, de cynisme, d'intelligence et de profondeur. Ce cheval aux tendances auto-destructrices est une bénédiction pour les amateurs d'humour noir.

 

 * LA CASA DE PAPEL - PARTIE 3: 

Vu le succès des deux premières saisons, Netflix n'a pas pu s'empêcher de tirer sur la corde pour faire marcher la machine à billets. Faire une suite à cette série était complètement dispensable mais vu qu'elle est là, je voulais voir comment ils allaient se dépatouiller. Au final, je lui ai trouvé les mêmes qualités et défauts que pour les deux premières parties. Parmi les points positifs, les personnages sont encore attachants et le suspense fonctionne, les épisodes s'enchainent facilement, avec un rythme haletant. Là où le bât blesse, c'est que ça manque encore beaucoup de finesse (l'inspectrice enceinte qui bouffe plein de sucreries, pitié!), avec des facilités de scénario et des personnages franchement pas malins (et ça m'agace!). Mais ce qui me dérange surtout, c'est d'avoir l'impression d'assister à la même chose qu'avant, même construction, mêmes ficelles scénaristiques. Bref, cette partie 3 (qui annonce la 4) était franchement dispensable mais reste agréable à suivre.

 

 * EUPHORIA : 

A peine sortie de désintox, la jeune Rue cherche à se réintégrer dans la société. Elle va se lier d'amitié avec Jules, une fille trans tout juste débarquée dans la ville. A la base, l'univers drogue/sexe/drogue chez des ados paumés ne m'attire pas forcément mais j'étais curieux de découvrir cette série qui recevait pas mal de louanges. Euphoria a deux grosses qualités: sa réalisation haut de gamme (parfois même trop esthétisante) et ses multiples personnages réussis, qui pourraient chacun être le héros de sa propre série. Sans oublier la bande son et le casting, deux autres réussites. Regarder cette série a été pour moi une sensation étrange: j'ai aimé sa construction (notamment le fait que chaque début d'épisode se focalise sur le passé d'un des protagonistes), sa technique et certains personnages mais la noirceur de son univers et le mal-être de tous ces ados laissent un goût étrange en bouche. En fait, je crois que j'ai trouvé Euphoria très bien sans prendre spécialement de plaisir à la regarder. Bizarre, non? 

 

 * THE BOYS : 

The Boys partait avec un avantage certain, c'est que le pitch me plaisait beaucoup.  En effet, il s'agit d'un monde dans lequel les super-héros sont complètement intégrés à la société et présentés avec une face très humaine (comprendre avec tous leurs travers et défauts). On est donc à l'antithèse des productions Marvel présentant des héros irréprochables. Tirée du comics du même nom, cette adaptation suit principalement un homme -accompagné d'acolytes- qui cherche à se venger suite à la mort de sa petite amie, fauchée accidentellement par un super-héros. Si j'ai la sensation que la série aurait pu aller beaucoup plus loin et que certains personnages sont ratés ou pas pas très bien joués (on en parle de ce "Frenchie" qui parle français avec un accent de l'enfer?), le cynisme ambiant et l'angle choisi pour dépeindre les super-héros sont très rafraichissants.

 

 

La face cachée des princesses Disney

 

Andhika Muksin est un artiste indonésien qui s'est spécialisé dans le détournement des personnages Disney. Il a notamment brillamment intégré des visages des protagonistes phares de l'univers du grand Walt dans des photos du quotidien. Mais la série que je trouve la plus réussie -car maline et surtout très drôle-, c'est celle où il détourne des séquences de dessins animés en comparant la version originale et celle qu'il a retouchée beaucoup plus réaliste (et forcément moins flatteuses pour nos princesses).

Original et amusant.

Terre, attention danger

 

Cette photo a fait le tour du web ces derniers jours, et pour cause, elle est aussi sublime qu'effrayante. On y voit un ours polaire complètement seul et impuissant devant les actions de l'homme qui renverse tout sur son passage. Glaçant.

KoF fête ses 25 ans

 

Je tenais à célébrer ici un autre anniversaire, celui d'une série vidéoludique qui m'a tant marqué depuis mon adolescence, The King of Fighters (KOF pour les intimes), qui fête en ce mois d'août son 25ème anniversaire. Et je me rappelle qu'à la sortie du tout premier opus, The King of Fighters '94, j'avais douze ans et surtout des étoiles plein les yeux en voyant les images de ce jeu révolutionnaire pour l'époque et réunissant de nombreux personnages charismatiques. Il y a eu de nombreuses suites durant toutes ces années, avec toujours plus de personnages au design que j'adorais. Cette saga m'avait vraiment marqué, c'est donc tout naturellement que je lui souhaite un beau vingt-cinquième anniversaire, en espérant voir à l'avenir de nouvelles itérations de qualité de mon jeu préféré.

Joyeux anniversaire mon OM !

 

120 ans ! Il faudrait un sacré gros gâteau pour faire tenir les 120 bougies que souffle mon cher club de foot préféré, qui continue à me faire vibrer (mais pas toujours positivement) depuis tant d'années. Joyeux anniversaire et allez l'OM !

Lucky day?

 

La photo parle d'elle-même (si vous parlez un tant soit peu l'anglais) et je la trouve aussi drôle que cynique.

Street art marseillais

 

Ce n'est plus une surprise, chaque visite marseillaise donne lieu à une ballade street art pour découvrir de nouvelles oeuvres. Cette fois-ci, ce fut assez court mais c'est toujours un plaisir d'arpenter les rues du Panier ou du Cours Julien et de découvrir quelques nouveautés qui ornent les murs de ma chère ville.

Calanque de Figuerolles

 

C'est vrai qu'on est pas mal dans le sud...

Il y avait de (trop) nombreuses années que je n'étais pas allé me prélasser dans cette superbe calanque de Figuerolles. Après un repas (un peu cher) devant cette superbe vue (ceci expliquant cela), j'ai pu profiter du soleil (mais pas vraiment de l'eau qui devait être à 17 degrés) (non, ça ne le fait pas pour moi) allongé comme un roi sur ma serviette (je ne sais pas si les rois s'allongent sur des serviettes, remarquez) dans un décor remarquable. La vie, quoi...

Ces petits détails que j'aime

 

On a tous des petits trucs qui peuvent paraitre insignifiants pour d'autres et pour lesquels on a une affection particulière. Parmi ceux-là, j'aime voir des tas de mâts alignés dans les ports. Je ne sais pas si c'est le cadre agréable ou si c'est la géométrie de tous ces mâts parallèles (ou une combinaison des deux) mais ce type de paysage me fascine un peu. J'aime donc observer ça quand je vais sur le Vieux Port de Marseille. Pour le coup, j'ai pris cette photo sur le port de Bandol, qui est, il faut le souligner, une ville bien agréable.

 

 

 

 

Juillet 2019

Le roi de la retouche

 

Photoshop toujours avec James Fridman qui propose de retoucher les photos de ses followers sur Twitter. Et parfois, il arrive à détourner les demandes de façon très drôles. Voici un petit panel de mes préférées (avec un bonus spécial pour le message sympa de la dernière):

 

Concours de détournements

 

Je suis tombé sur ce concours de détournements de photos via Photoshop que j'ai trouvé à la fois drôle et intéressant. Du coup, je vous le partage. Et ouais!

Atelier graffiti

 

Histoire de tester un truc (et surtout parce que j'adore le street art), je me suis inscrit à un atelier de graffitis. Bon, on va pas se mentir, c'était tout pourri, on nous a fait faire des personnages de Keith Haring dans un skate park avec peu de bombes de couleurs. J'ai customisé mon bonhomme en Wolverine et comme vous voyez, le résultat n'est pas impressionnant.

 

Get free

 

Entre le clip, le cabaret et le court-métrage, ce délire de mon amie Marine Assaiante a été tourné il y a quatre ans et voit enfin publiquement le jour. Get free les amis !

juin 2019

Métamorphose !

 

Et voici le résultat de cette journée de maquillage avec à la baguette les brillantes Alanis Bouffard et Marine Humbert. Le thème était les créatures fantastiques et elles ont choisi, comme vous le voyez, de me maquiller en faune. Moi qui adore ne pas me reconnaître, j'ai été servi.

Journée make up

 

Après avoir fait le moulage de mon visage il y a quelques jours (c'est un peu particulier d'ailleurs de retrouver ses propres traits sur du plâtre bleu), c'était enfin le jour J pour l'examen de maquillage d'Alanis et Marine. Durant ces 8h (quand même!) de make up, les filles m'ont posé un faux crâne, un masque de latex (avec au préalable une colle spéciale sur tout le visage), des lentilles (malgré des yeux récalcitrants, on a fini par réussir !), des postiches sur le torse et le visage, une perruque, des moitiés (oui) de chaussures compensées et un pantalon hand-made.

C'était assez génial de voir la transformation opérer au fil des minutes.

Fête de fin de tournage

 

Planète Coworking, c'est l'ambitieux projet de série créé, produit et réalisé par mon ami Arno Le Liegard. En plus d'être un très chouette programme bien écrit, il se tourne à Lyon et me permet donc de faire des escapades hors de Paris le temps de quelques week-ends et de retrouver cette super équipe. Nous avons pour l'instant tourné 4 épisodes (de 26 minutes) pour un total de 6 qui formeront la première saison. Les deux derniers épisodes devant être tournées en octobre, nous en avons profité pour faire une grosse fête de fin de (première partie de) tournage et c'était amusant de voir l'effet de la canicule et du punch bien chargé sur certains membres de l'équipe. Hâte de reprendre le tournage et que la série sorte (à la rentrée a priori).

Chernobyl

 

Précédée d'une excellente réputation (et notamment le titre de la série la mieux notée de tous les temps) et traitant d'un sujet très intéressant (la catastrophe de Chernobyl donc), cette série partait avec de solides arguments. Je m'y suis plongé avec un intérêt certain, d'autant qu'elle ne comporte que cinq épisodes. Et je n'ai pas regretté: ce programme est un témoignage nécessaire sur l'une des plus grandes et obscures catastrophes humaines. Si certains ont pesté contre la langue utilisée (l'anglais à la place du russe), ce bémol est largement dépassé par la liste de ses qualités : une reconstitution aussi glaçante qu'effrayante, un casting avec peu de visages connus mais très pertinent, une dramaturgie captivante et une photographie très à propos. Alors si Chernobyl ne se place pas au premier rang de mes séries préférées (FLEABAG, bordel!), je la recommande sans hésitation.

Séries

 

Durant ces dernières semaines, j'ai eu l'occasion de voir quelques épisodes de série.

 

- La dernière saison (la cinquième) de Black Mirror, qui ne contient que 3 épisodes et c'est pas plus mal tant cette série tire sur la corde depuis quelque temps. En effet, après deux excellentes premières saisons, les suivantes se sont révélées très inégales, avec notamment des épisodes complètement dispensables, à l'image de ces trois derniers. Cela reste regardable, bien sûr mais on est loin de la bombe que représentait la série à ses débuts.

 

- Irresponsable est une série française diffusée sur OCS, dans laquelle Julien, trentenaire immature vivant aux crochets de sa maman, se retrouve du jour au lendemain père d'un ado de seize ans. L'occasion de voir à l'écran une ancienne collègue de classe du Cour Florent, Marie Kauffmann. La série, apparemment tourné avec peu de temps et de moyens, propose quelques scènes rocambolesques et des moments touchants. Je lui reprocherais juste une écriture parfois un peu facile, cherchant de façon un peu trop évidente le comique de situation.

 

- Un peu tardivement, je me suis enfin lancé sur la fameuse série Six Feet Under. Uniquement la première saison pour le moment (très belle affiche au passage) mais c'est déjà suffisant pour reconnaitre l'immense qualité de ce programme.

 

 

Un tweet fascinant

Je vous partage ce tweet parce que j'ai bloqué dessus. Je ne sais pas vraiment pourquoi je l'ai regardé en boucle mais je le trouve génial. Peut-être parce que c'est une action toute conne mais qu'on reste en suspens parce qu'on aurait aimé voir la suite, peut-être parce qu'on ne sait pas vraiment si le gamin est pas bien malin ou carrément machiavélique.

Le podium

 

Comme je disais un peu plus tôt, notre film A côté a participé au prestigieux Très Court International Festival et a donc été projeté simultanément dans de nombreux pays à travers le monde. Nous étions invités au Forum des Images en compagnies des autres équipes participantes et avons eu la chance de voir le film diffusé sur écran géant dans la salle de 500 places. Et surtout, nous avons eu la bonne surprise de voir notre film classé 3ème (sur 38) pour le prix du public (mondial).

 

Street pixel art

 

Et puisque je parlais de talent juste en dessous (regardez Fleabag, c'est un de mes plus gros coups de coeur toutes disciplines confondues de ces dernières années !), laissez-moi vous présenter (grâce à cette vidéo compilation de Golem13) Pappas Parlor, un artiste suédois qui agrémente les rues de son pays de personnages de la pop culture représentés sous forme de pixels (à base de Qixels, des perles colorées en plastiques que l'on juxtapose comme une mosaïque et qu'on colle entre elles avec de l'eau) en détournant le décor urbain. Et je trouve ça excellent, fun et malin.

Love is in the air

 

Parce que j'aime d'amour Fleabag et que j'ai envie de le crier sur tous les toits, parce que Phoebe Waller-Bridge est beaucoup trop talentueuse, parce que cette série est une merveille d'écriture et de jeu, parce que c'est aussi drôle qu'émouvant, aussi fin que malin, parce que la première saison était exceptionnelle et que la seconde (et dernière) est extraordinaire, pour toutes ces raisons, j'avais envie de le partager avec vous et de vous encourager à découvrir ce bijou. J'avais déjà fait un article sur la saison 1 mais je ne peux pas m'empêcher d'en faire un sur la seconde. Vous l'aurez compris, c'est un très gros coup de coeur.

Baby sitting

 

Deuxième nouvelle expérience dans la même journée: mon ami Guillaume qui m'appelle en catastrophe parce que sa nounou lui a fait faux bond. Me voici donc propulsé sur le champ baby-sitter pour la première fois de ma vie. Et même si ce n'est pas un masque de plâtre sur le visage, ça met quand même un peu la pression. Heureusement, Jean était très sympa (à condition que je détourne pas le regard bien sûr) et il m'a facilité le premier biberon et le premier rot. Bon j'ai fait 92 fois le tour de la table en poussette et j'ai chantonner (mal) beaucoup trop de comptines mais on a bien rigolé et ça s'est passé sans accro, sauf quand je l'ai fait tomber sur... non je déconne Guigui ! :)

 

Une expérience nouvelle

 

Dans le cadre d'un examen de maquillage FX, Marine, une maquilleuse rencontrée sur un tournage, m'a proposé de lui servir de modèle pour sa création. J'ai évidemment accepté car j'adore ne pas me reconnaître, je vais donc être transformé en faune, cette créature mythologique romaine. Mais avant ça, il y avait la prise d'empreintes et il ne fallait pas être claustro: pendant environ trente minute, j'étais recouvert de plâtre et de je ne sais quelles textures, seules mes narines étaient libérées pour que je puisse respirer (grand seigneur). Mais la sensation est vraiment étrange puisque qu'on ne peut plus ouvrir les yeux ou la bouche, que le plâtre durcit sur le visage et qu'il est impossible de respirer avec la bouche. Un brin flippant, on va pas se le cacher. Résultat du maquillage en fin de mois !

On est dans Télérama!

 

Ouh alors là, c'est fierté! Télérama (TELERAMA!)est venu nous voir jouer à l'Essaïon et nous a crédité d'une bonne critique (TT, soit On aime beaucoup) et ça nous fait trèèèès plaisir. L'article est disponible ici. On joue jusqu'à fin juillet, venez! Toutes les infos ici.

 

Le voleur prévenant

 

Scène pour le moins cocasse aujourd'hui dans le RER. Il est tard mais il y a du monde dans la rame. Un type lambda est assis, regardant son téléphone. Un autre homme (un peu louche il faut bien l'avouer) l'interpelle en lui disant gentiment :

"Tu devrais ranger ton téléphone parce que si tu le gardes, comme ça, juste devant moi, je vais te le voler. "

Forcément, le type range son téléphone dans sa poche, un peu perplexe. Et l'autre enchaine:

"T'as raison, c'est mieux comme ça. En plus, je descends à la prochaine station, je te l'aurais arraché des mains au dernier moment, tu sais, quand les portes sonnent."

On vit dans un monde de fous.

 

mai 2019

Un bel article pour A côté

 

A côté, film réalisé par Jérôme Piel-Desruisseaux, que j'ai écrit et co-interprété, est toujours en vadrouille et sera bientôt en compétition dans le prestigieux Très Court International Film Festival. Et à cette occasion, le webzine Lars&Ruby a publié un joli article (disponible ici) et l'intitule même: Une ode à l'amour, en toute simplicité. Je suis joie.

 

Quand Twitter me fait sourire

 

Les gens sont parfois exaspérants sur Internet, c'est une évidence. Mais parfois aussi ils me font marrer. Par exemple, cet enchainement de tweets suite à une information sur l'actualité olympienne (le licenciement attendu de l'entraineur Rudi Garcia, très peu populaire auprès des supporters, coûterait une somme faramineuse au club, qui n'est déjà pas bien riche) est particulièrement savoureux.

 

La classe à Dallas (enfin, à Lyon)

 

Aujourd'hui, au parc de la Tête d'Or à Lyon, une vieille dame avec plein de Yop qui dégoulinait de sa bouche m'a dit que j'étais aussi beau, voire plus beau, que les canards. Et ça, c'est un peu la grande classe.

Planète coworking et street art

 

Plusieurs mois après le tournage du pilote, me voilà de retour à Lyon pour tourner les épisodes de la série (documenteur) de mon pote Arno Le Liégard, Planète Coworking. Comme d'habitude, c'était bien chouette et vous devriez voir le résultat à partir de la rentrée. 

Et puisque j'étais à Lyon, j'en ai profité pour me balader et dénicher quelques oeuvres street art pour mon plus grand bonheur.


AVRIL 2019

Fashion Freak Show

 

Dans la très belle salle des Folies Bergère, le célèbre couturier Jean-Paul Gaultier propose une revue unique retraçant une partie de sa vie, le tout mélangeant la danse, le chant et bien sûr les défilés. Grâce à une mise en scène sans temps morts (et de quelques séquences vraiment superbes), de beaux tableaux, des artistes talentueux, une bande son entrainante, une touche de sexy, et évidemment de superbes costumes, le Fashion Freak Show est un ravissement pour les yeux et un vrai spectacle atypique. Je recommande !

Silence, on tourne !

 

Ayant entendu beaucoup de bien de Silence, on tourne!, j'ai proposé à mon cousin et ma cousine d'aller voir la pièce pour nous divertir, rassuré par sa nomination aux Molière 2017. Une équipe de cinéma investit un décor de théâtre pour tourner une scène de film. L'occasion de voir défiler toute une galerie de personnages loufoques mais très cliché. Et c'est ça le problème, c'est que même si les comédiens sont enthousiastes, l'écriture n'est pas à la hauteur et on assiste à une succession de blagues convenues et pas très fines. La salle avait l'air d'apprécier mais ce n'est pas le type de pièce qui me fait rire. A noter tout de même qu'un évènement vraiment particulier apparait en deuxième partie de spectacle (je ne peux rien révéler pour éviter tout spoil) et m'a beaucoup intrigué. Pour résumer, c'est une comédie de boulevard à l'humour éculé à mon sens mais qui a visiblement beaucoup d'adeptes.

Revival 2006

 

En 2006, mon cousin Fabrice et ma cousine Vanessa étaient venus passer quelques jours chez moi à Paris et on avait passés un superbe séjour en vadrouillant dans la ville et surtout en rigolant tout le temps. Pendant des années, on se disait qu'il faudrait remettre ça, on l'a finalement fait... 13 ans après. Au programme: de la marche, de la culture (le cabaret Fashion Freak Show et la pièce Silence! On tourne, chroniqués juste au dessus), des rires et surtout beaucoup de bonne bouffe, notamment les délicieuses pâtisseries des célèbres Cyril Lignac et Philippe Conticini. 

Y a plus qu'à refaire ça dans moins de 13 ans!

Course intergalactique

 

Très chouette expérience cette semaine puisque j'ai tourné sur fond vert pour un court-métrage de science-fiction réalisé par des élèves de l'école ISART, spécialisés dans les effets spéciaux. Le film met en scène une course intergalactique entre quatre vaisseaux et j'interprète le pilote du véhicule héros. L'équipe était hyper sympa, les élèves avaient construit eux-mêmes un cockpit (très réussi) pour que je sois plus à l'aise dans mes mouvements et que le rendu soit plus réaliste. Vraiment hâte de voir le résultat, une fois que la post-production sera terminée... dans un an.

Court-métrage Cherry

 

Dans le cadre du concours Grand Angle organisé par la MAIF (dont les contraintes étaient le thème -Voiture autonome: sans les mains mais pas sans risque- et la durée -1 minute maximum-), j'ai participé en tant que comédien au court-métrage Cherry réalisé par Quentin Mortreux et Fabien Duchamp et dont le résultat est visible ci-dessous:

Un homme heureux

 

Comme tous les ans, le mois d'avril est synonyme de Pâques et comme tous les ans, j'espère fébrilement trouver des oeufs de mouette (les oeufs creux au chocolat avec un enrobage sucré très dur) parce que ce sont mes préférés. Et évidemment, ils sont comme d'habitude introuvables. Mais c'est là que ma maman et ma marraine (oui, ma passion pour l'oeuf de mouette est mondialement connue) interviennent et m'ont fait la surprise de m'en offrir. C'est peut-être un détail pour vous mais pour moi, ça veut dire beaucoup. Joyeuses Pâques !

Garden sweet garden

 

Durant mon passage à Marseille, j'en ai profité pour faire un tour au stade Vélodrome pour voir mon cher OM. Voir les matchs dans les bars à Paris, c'est sympathique mais rien ne remplace le plaisir du meilleur stade de France. Bon, comme bien souvent cette année, les joueurs ont gâché la fête en faisant match nul (2-2) après avoir mené 2-0 alors que c'était Angers en face (bon, en toute objectivité, l'arbitre n'est pas exempt de tout reproche). Ce sera mieux la prochaine fois!

 

De retour sur les planches !

 

Et oui, comme l'indique le titre de cette news, me voilà à nouveau sur scène, j'intègre la très chouette équipe d'un très chouette spectacle, Grétel & Hansel, mis en scène par Aude Ollier, qui va se jouer dans un très chouette théâtre, L'Essaïon (à Hôtel de ville), jusqu'à fin juillet. Je jouerai en alternance avec Charlenry le rôle d'Hansel, petit frère naïf de Grétel. L'histoire, vous la connaissez déjà mais la nôtre est écrite par les mains expertes de Suzanne Lebeau. C'est un vrai plaisir de jouer ce texte très bien écrit, traitant de l'abandon et des relations fraternelles complexes, un spectacle intelligent pour enfants conseillé à partir de 5 ans. 

Pour toutes les infos, je vous invite à cliquer sur le lien de billetreduc. 

A bientôt!

Fleabag

 

Un bijou. Voilà ce que je me suis dit plusieurs fois (et à haute voix même) pendant que je visionnais Fleabag. Cette série courte transpire le talent, et elle le doit en grande partie à Phoebe Waller-Bridge, scénariste et comédienne principale. On y suit le quotidien, drôle et touchant d'une trentenaire londonienne. Tout dans Fleabag m'a plu et voici quelques uns de ses points forts (pour les faiblesses, je n'en vois aucune) (oui je suis très enthousiaste à propos de Fleabag!): un ton sarcastique et original, une réalisation maline (le fait que l'héroïne brise le quatrième mur et fasse des apartés à la caméra est à la fois drôle et rafraichissant), une écriture subtile, du jeu de première qualité avec également de bons seconds rôles, beaucoup de moments drôles, beaucoup de moments touchants, l'accent londonien,... bref je m'arrête là et vous, filez mater cette perle!

Let's go together

 

Voici le clip "Let's go together", tourné entre copains et réalisé par Jérôme Piel-Desruisseaux. Avec peu de moyens et de la démerde, il a pondu un clip qui sent bon les années 80. 

Vous pouvez le découvrir ci-dessous:

Umbrella Academy

 

Pierre-Yves m'a vendu cette série comme un gros coup de coeur. Des super-héros, une famille conflictuelle, un univers sombre, je me suis dit pourquoi pas. 10 épisodes d'environ 1h composent cette première saison qui a pour sujet un milliardaire qui adopte sept enfants nés le même jour, de mères qui n'étaient pas enceintes quelques heures auparavant. Il crée l'Umbrella Academy et forme ses enfants (qui possèdent chacun un super pouvoir) à sauver le monde. Umbrella academy est la série hype du moment mais je ne vais pas vous le cacher, j'ai détesté. Les deux points à sauver sont une jolie photographie et une bonne B.O. (qui sert un peu de cache-misère). Pour le reste, c'est le carton rouge: un rythme atrocement lent, un scénario cousu de fil blanc, des personnages inintéressants et fades, pas très bien joués pour la plupart, des pouvoirs inutiles, des moments vraiment niais (gênants même), etc. 

Bref, j'ai souffert du début à la fin mais la série cartonne donc à vous de voir.

 

Nouvelle bande-démo

 

Il était temps de mettre à jour ma bande-démo de comédiens avec des projets plus récents. 

Avec des extraits de: 
- Les deux morceaux de ma femme que j'ai co-réalisé avec Michaël Marie
- Dream - Episode 1 réalisé par Victoria Roblin
- FAAAIL! - Episodes 12 et 30 réalisé par Michaël Marie
- Le choix de mister Ouaf réalisé par Jérôme Piel-Desruisseaux
- Le manuscrit réalisé par Anthony Belliot
- Un échange de bons procédés réalisé par Jérôme Piel-Desruisseaux
- La demande réalisé par Michaël Marie

Be a rebel

 

Vandales avec de l'esprit

 

Je suis tombé sur un article qui recensait certains messages tagués sur les murs pendant les manifestations des gilets jaunes. Et force est de constater que certains sont de vraies perles, des punchlines qui font mouche, des jeux de mots drôles et percutants ou des réflexions pertinentes. 

Voici une sélection de mes tags protestataires favoris.

La méthode Kominsky

 

Ancien comédien star, Sandy Kominsky se reconvertit en coach d'acteur et monte son école à Los Angeles. En plus de ses problèmes personnels, il doit s'occuper de son meilleur ami et agent déprimant après le décès de son épouse.

Créée par Chuck Lorre (Big Bang Theory) et ayant remporté les golden globes de la meilleure série comique 2019 et du meilleur acteur dans une série comique pour Michael Douglas, La méthode Kominsky partait sous de bons auspices. Les points forts de la série sont le duo de personnages principaux octogénaires (Michael Douglas donc et le très bon Alan Arkin) et leurs préoccupations qui changent de ce que l'on a habitude de voir traiter (la vieillesse, la prostate, la sexualité chez les personnes âgées,...), l'humour caustique et le format sympa (8 épisodes de 25 minutes). 

Un série fort sympathique donc, pas inoubliable mais rafraichissante (oui malgré l'âge de son duo principal).

 

Coïncidence amusante

 

Je trouvais juste ce titre du journal L'Equipe amusant: qu'un joueur de foot nommé Drinkwater se fasse arrêter pour une conduite en état d'ivresse, c'est quand même cocasse.  

Drinkwatermaisnoyédansbeaucoupdepastis quoi.

MARS 2019

Shooting photo avec poto

 

Mon pote Grégory Le Fourn se lance dans la photo sous le pseudo Hikofoto et il m'a proposé de poser devant son objectif pour s'entrainer et donner de la matière à son book (et au mien). 

On s'est donc retrouvés au niveau du pont Alexandre III, sous un ciel pas vraiment clément, pour prendre quelques photos. 

A la fin, il a voulu tenter une série plus brute, plus rock, je peux donc intégrer le groupe des BB Brunes.

Love, death + robots

 

La plateforme Netflix n'est pas avare en nouveautés originales. La dernière en date était très prometteuse: une anthologie d'animation dirigée par David Fincher et Tim Miller, rien que ça. Dix-huit courts métrages animés de 6 à 18 minutes maximum composent cette (première?) saison et leur seul point commun est le genre: la science-fiction. Les styles sont variés, de l'image de synthèse photo-réaliste hallucinante en passant par le cartoon. Les univers sont donc très différents et les histoires n'ont aucun lien, il est donc difficile de porter un jugement global sur la série, sachant qu'évidemment, dans ce genre d'exercice, certains épisodes sont excellents (comme Le témoin, mon préféré, Derrière la faille, L'oeuvre de Zima ou Les esprits de la nuit) et d'autres au mieux anecdotiques (Un vieux démon, Bonne chasse, Histoires alternatives). Mais on peut retenir des pattes graphiques et du travail technique de premier ordre. 

A noter que j'aime beaucoup le jingle de la série.

 

Sois toi et t'es belle

 

Le street art peut être incroyable de deux manières différentes: soit graphiquement, avec une qualité artistique indéniable, des couleurs flamboyantes, un dessin fin ou avec une patte graphique bien distincte ou alors simplement en faisant passer un message, avec une phrase simple ou un jeu de mots. 

L'image de gauche en est le parfait exemple: un message positif mais aussi simple que fort. 

J'adore.

Mais oui, lisez les amis!

Punchline

 

Je suis tombé sur cette punchline de la légende du ballon rond Diego Maradona que j'ai trouvé aussi drôle qu'improbable.

Tournage clip

 

A peine rentré de Jordanie que me voilà direct dans le bain avec ce tournage en famille (toute la petite équipe se connait et s'entend très bien, donc que du plaisir!) de trois jours du clip Let's go together de l'artiste Morgan Willis réalisé par Jérôme Piel-Desruisseaux. Résultat bientôt !

 

Jordanie, baby!

 

Me voilà de retour d'une semaine mega chouette en Jordanie avec mon pote Lucas. Après avoir loué une voiture, nous avons arpenté le pays avec deux stops principaux et indispensables: Petra et le désert du Wadi Rum. Nous avons également roulé le long de la Route des Rois, expérimenter un bain dans la mer morte et visité la capitale Amman. 

Je ne vous surprendrai pas en vous disant que c'était génial et qu'on en a pris plein les yeux (et je parle pas que du sable dans le désert).

 

Petra

 

On commence par le plus connu et le plus remarquable, Petra, considérée comme l'une des sept merveilles du monde. Située au sud de la Jordanie, cette ancienne cité nabatéenne est sans surprise l'attraction touristique numéro un du pays. La découverte de l'immense site de Petra commence par le Siq, un chemin étroit et sinueux d'un peu plus d'un kilomètre qui débouche sur le mythique Khazneh, dit le trésor, plus célèbre monument du site dont la façade est taillée directement sur la roche. Il est également possible d'admirer le monument du dessus, via une longue marche ou une escalade un peu crapuleuse (on a fait les deux).

Après une longue randonnée, qui donne accès à de superbes points de vue, comme ci-dessus, nous sommes récompensés par la découverte du monastère Ad Deir, taillé également dans la roche, comme le Khazneh. 

L'une des surprises de notre randonnée à Pétra, en plus des incroyables points de vue, est la rencontre pour le moins inattendue de quelques chats au sommet, et notamment un avec qui j'ai sympathisé. 

Tout au long de ces deux journées dans l'immense site de Petra nous avons beaucoup marché mais c'était un véritable régal.

 

Cours de cuisine locale

 

Expérience intéressante après une bonne journée de marche à Petra: un cour de cuisine locale. 

Nous avons donc appris (mais ne me demandez pas de les refaire hein) puis dégusté la soupe de lentilles, le fattoush (salade de crudités), le moutabal (caviar d'aubergines), le houmous, le tabouleh, le galayat bandura et enfin le maglouba (plat traditionnel à base de riz et légumes frits avec de la viande).

Randonnée dans le désert

 

Après deux jours de marche à Petra, nous avons choisi de partir randonner dans un lieu bien différent mais tout aussi dépaysant: le désert du Wadi Rum. 

Merci Lucas, je n'oublierai jamais!

Alors cette photo n'est pas de moi mais c'était pour essayer de faire honneur au maximum à ce que l'on a vu, sachant que je n'avais pas le bon appareil pour ça. Nous avons dormi dans le désert à la belle étoile, sous la voute céleste, à contempler les innombrables étoiles et les constellations. Et c'était juste magnifique.

Autre expérience originale, nous avons pris un bain dans la fameuse mer morte. Et effectivement, la légende dit bien vrai: on flotte.

Marketing douteux

 

J'ai vu passer cette publicité sur internet concernant une voiture électrique Audi. Jusque là rien d'anormal. Par contre, quand j'ai qu'elle s'appelait "e-tron", j'ai cru que c'était un détournement. Je suis donc allé vérifié l'information et non, non, ce n'est pas une blague, Audi a vraiment appelé sa voiture "e-tron". Pendant toutes les réunions avant de lancer le produit, y a donc personne qui a tilté et qui s'est dit "tiens, peut-être que donner un nom de merde à notre voiture, c'est moyen vendeur". Bravo les gars !

 

 

 

FÉVRIER 2019

The Marvelous Mrs. Maisel

 

La fabuleuse Madame Maisel, ou Madame Maisel, femme fabuleuse, selon les traductions, est un coup de coeur. En même temps, quand une série est superbement écrite, bien réalisée et remarquablement interprétée, ça ne peut donner qu'un petit bijou. Dans le New-York des années 60, Miriam "Midge" Maisel a une vie aussi parfaite que bien rangée. Mais cette dernière va se trouver bouleverser lorsque son mari la quitte et qu'elle se découvre un talent certain pour le stand-up. 

Les Emmy Awards ne se sont pas trompés en décernant (entre autres) à Mme Maisel le prix de la meilleure série comique et la meilleure actrice à Rachel Brosnahan (qui est vraiment exceptionnelle). Non vraiment, il n'y a que du bon: ajoutons que c'est drôle, malin, bourré de charme, avec des seconds rôles croustillants et un New-York du siècle dernier parfaitement reconstitué. 

Foncez!

 

Nouvelle expérience

 

J'avais entendu parler des salles de cinéma qui proposaient un service supplémentaire: le 4DX. Sous ce nom moyennement inspiré se cache une technologie avancée et une expérience cinématographique unique: les sièges bougent en adéquation avec l'action à l'écran (évidemment) ou les mouvements de caméra, des projections d'eau quand les personnages sont sous la pluie, un air ambiant quand ils sont dehors, des petits coups dans le siège quand ils se battent ou des jets d'air quand quelque chose les frôle. Et pour tester cette technologie au coût excessif (20,20€ sans les lunettes 3D), il fallait un film qui en vaille la peine et me tienne à coeur: c'est donc fort logiquement que mon dévolu s'est jeté sur Alita: Battle Angel, adaptation du manga culte de mon adolescence: Gunnm (qu'est-ce que je l'ai adoré ce manga!). 

Au final, cette expérience était plutôt amusante et bien intégrée à Alita mais on resort quand même avec une petite douleur aux fesses (pas si bien installés) et au porte-monnaie. Mais pour Gunnm, ça valait la peine!

 

Surprise !

 

A plusieurs reprises, j'avais vu passer sur internet ces ciels garnis de parapluies, donnant du charme et de la couleur aux rues qu'ils habillaient. Je trouvais l'idée séduisante et avais très envie de découvrir cela de mes propres yeux. Puis j'ai vu passer une photo du genre qui était localisée à Paris, sans plus de détails. Je me mets donc en quête de l'information sur internet, sans succès. 

Quelques jours plus tard, Julien et Pei étant en transition pour quelques heures à Paris, petite balade à Paris et devinez sur quelle rue on tombe au hasard?

Cours de mixologie

 

Expérience originale aujourd'hui puisque le temps d'une heure et demie, j'ai pris un cours d'initiation à la mixologie dans l'excellent bar à cocktails L'ours bar. Deux cocktails au programme dont le Portotatis: rhum ambré, porto, pulpe de passion, sirop de vanille et jus de citron vert. 

Une réussite !

Pose

 

En plein New-York des années 80 et alors que le sida fait rage, Blanca Rodriguez, transexuelle venant d'apprendre sa séropositivité, décide de créer sa propre "maison" et de devenir la "mère" de laissés-pour-compte gays et trans voulant faire carrière dans l'art. Elle les héberge et les guide, tout en essayant d'imposer sa "maison" comme l'une des références de la bal culture. Ces bals justement, sorte de défilés de costumes extravagants et de démarches tapes-à-l'oeil, sont trop présents et donc lassants. Pour le reste, si l'on excepte le jeu de quelques comédiens en dessous, cette série reste intéressante car elle nous fait découvrir une culture underground, un univers flamboyant mais cruel et a le mérite de mettre l'accent sur le T de LGBT, une minorité dont on n'a pas l'habitude de voir jouer les premiers rôles à l'écran.

 

Atelier doublage

 

Cela fait un petit moment que ça me trottait dans la tête, j'ai enfin sauté le pas: je me suis donc inscrit à un atelier d'une journée d'initiation au doublage. Une expérience aussi intéressante que difficile. Reprendre le ton du comédien à un moment précis, terminer sa phrase en même temps, le tout en lisant une bonne passante sans oublier de jouer, c'est plus compliqué qu'il n'y parait. Mais super intéressant !

 

JANVIER 2019

Kidding

 

Une série réalisée par Michel Gondry avec Jim Carrey en comédien principal? Ouh voilà qui s'annonce prometteur! 

Jeff, alias M. Pickles, est présentateur d'une émission culte pour enfants et véritable icône de plusieurs générations. Cet homme est profondément bon et généreux mais un drame familial (la mort d'un de ses enfants) va bouleverser son quotidien et son monde imaginaire derrière lequel il ne veut plus se cacher. 

Kidding est une comédie dramatique comme on en fait rarement, qui allie avec justesse des scènes humoristiques et touchantes, bienveillantes ou cruelles. Le talent incroyable de Jim Carrey y est sûrement pour beaucoup mais pas seulement: les seconds rôles sont justes, l'écriture de qualité et la réalisation réussie (notamment un fameux plan séquence). 

Une belle série donc, juste, touchante, humaine.

 

 

La vie d'artiste

 

Voici une image que j'ai vu circuler sur le net et que je trouve très amusante. Elle reflète malheureusement la triste réalité qui veut que l'on propose souvent aux artistes de travailler gratuitement sans que cela choque quiconque. 

The little drummer girl

 

Une jeune actrice anglaise rencontre, lors de vacances en Grèce avec sa troupe de théâtre, un agent israélien qui va l'impliquer dans une mission d'espionnage extrêmement dangereuse et importante durant laquelle elle tiendra le rôle le plus complexe de sa carrière. 

Je trouvais le pitch original et le fait d'aborder le conflit israélo-palestinien dans une série une idée intéressante. Et le fait d'avoir eu de bons échos de The little drummer girl m'a convaincu de donner sa chance à cette série d'une saison de six épisodes réalisée par... Park Chan Wook. Honnêtement, j'ai eu du mal à rentrer dedans, malgré le talent de l'actrice principale Florence Pugh, la faute peut-être à un rythme bancal et des personnages masculins peu intéressants. 

J'ai quand même fini par me prendre au jeu mais dommage que ce soit un peu tardivement.

Exposition Mucha

 

Cette exposition au musée du Luxembourg me faisait de l'oeil depuis un petit moment. Alphonse Mucha est un peinte/illustrateur/affichiste tchèque, fer de lance du style art nouveau. 

Il est particulièrement connu pour ses affiches au style graphique bien à lui (que j'adore), notamment celles des spectacles de la légendaire Sarah Bernhardt ou des champagnes Moët & Chandon. 

En dernière image (ci-dessous), vous remarquerez qu'Alphonse Mucha est peut-être le précurseur du selfie avec bouche en cul de poule.

Samuraï Champloo

 

Cela faisait plusieurs années que Samuraï Champloo me faisait de l'oeil, j'ai enfin pris le temps de visionner cet animé d'une saison de 26 épisodes et créé en 2004. On y suit les pérégrinations d'un trio que tout oppose à la recherche d'un samuraï qui sent le tournesol. J'aurais voulu adorer cette série car elle a d'indéniables qualités (des personnages principaux aussi différents qu'attachants, des combats épiques, un mélange étonnant mais réussi de Japon médiéval avec du hip-hop) mais je l'ai juste bien aimée, la faute à un scénario qui manque de consistance et des passages un peu longuets.

Marketing intelligent

 

Je voulais partager avec vous ce paquet de cigarettes qui fait passer un message de manière humoristique et maline.

Le jus maison

 

Il y a quelques mois, je recevais, à ma demande, un extracteur de jus en cadeau d'anniversaire. L'idée de faire des jus maison me tentait beaucoup mais j'avais quand même un peu peur de me lasser rapidement de devoir nettoyer quotidiennement toutes les parties de la machine. Bon alors effectivement, ce n'est pas passionnant et même un peu chiant mais je tiens le coup et me fait chaque jour un jus de fruits maison. Et c'est teeellement bon, j'en suis ravi! 

 

Festival Nikon 2019

 

Pour la troisième année consécutive, je prends un grand plaisir à participer au festival Nikon, qui est un concours de courts-métrages très réputés, avec une excellente visibilité et une rude compétition. 

Comme d'habitude, les films doivent durer 2min20 maximum et le thème de cette année est le partage. 

Contrairement à ce que je pensais quand le thème a été annoncé, j'ai été particulièrement inspiré cette année et ai écrit 6 courts donc trois ont vu le jour: Je suis scié, Je suis un échange de bons procédés et Je suis le choix de mister Ouaf. J'ai essayé de proposer des "partages" décalés et originaux, voici les films dans les articles ci-dessous:

 

Je suis scié

 

Je suis scié (ou Les deux morceaux de ma femme) est un court-métrage que je rêvais de tourner depuis 10 ans. Le thème du Festival Nikon de cette année, le partage, s'y prêtait parfaitement puisque le film parle d'un magicien qui coupe les gens en deux... et ne les recolle pas, c'était donc l'occasion ou jamais. J'ai écrit le scénario (librement adapté du Magicien d'Hanokh Levin), co-réalisé et co-monté le film avec Michaël Marie et donné la réplique à Aubry Houilliez. Nous avons tourné en une journée au théâtre Pixel et par un froid polaire la deuxième partie. Je suis scié est disponible ici.

 

Et la version légèrement plus longue Les deux morceaux de ma femme est visible ci-dessous:

 

On se tape l'affiche!

 

Dans Je suis scié (qui s'appellera Les deux morceaux de ma femme dans sa version non-Nikon), Vlad le séparateur, le personnage que j'interprète, présente à un spectateur l'affiche de son spectacle de "magie". Et pour créer cette dernière, j'ai fait appel au talent de mon ami Aubry Houilliez (qui interprète d'ailleurs le spectateur). 

On voulait une affiche à l'ancienne, visuellement attrayante et captivante. Voici donc le résultat de son travail, qui me plait énormément.

Le choix de mister Ouaf

 

Après A côté l'année dernière qui a connu un franc succès, on remet le couvert avec Jérôme Piel-Desruisseaux (lui à la réalisation, moi à l'écriture) pour Le choix de mister Ouaf, un court-métrage qui mélange rupture et feel-good movie (si si, c'est possible). Tourné en une journée avec une chouette ambiance dans la super chouette maison de la méga chouette Léa François (qui interprète Morgane), le résultat est disponible sur le site du festival pendant quelques temps ici.

Le film et les photos de tournage sont disponibles ci-dessous:

Un échange de bons procédés

 

Avec Jérôme, on était chauds patate cette année pour le Nikon (et puis on voulait amortir la location du matériel aussi), on a donc enchainé le lendemain du Choix de mister Ouaf avec Un échange de bons procédés, qui propose une situation absurde et du comique de situation. Fabien rend service à un couple d'amis en les aidant à déménager, ils ont une façon bien particulière de le remercier. 

Une journée de tournage bien sympa chez Pitt qui joue dans le film. 

Le court est visible pendant quelques temps sur le site Nikon ici. Le  film et les photos de tournage sont disponibles ci-dessous: 

 

La demande

 

Dernier tournage pour le festival Nikon de cette année, cette fois-ci uniquement en comédien mais avec les copains: Je suis la demande, réalisé par Michaël Marie, avec Pierre-Yves Vaillère (aussi auteur du scénario) et Christel Pourchet. 

J'y joue un serveur parisien très pompeux (et avec la moustache messieurs-dames) et je me suis bien amusé. 

Vous pouvez visualiser le film en version longue ci-dessous:

Soirée GV

 

Comme chaque année début janvier, le George V organise une belle soirée pour son personnel dans l'un de ses grands salons. Et comme chaque année, on mange très bien, on croise les collègues qui se sont mis sur leur 31 et on prend des poses à la con devant le photomaton.

Lobby de luxe

 

Plus que quelques jours pour profiter de la bien chouette décoration hivernale du lobby du George V. Comme d'habitude, c'est classe et impressionnant.