J'aime pas


_ Me réveiller à l'envers de mon lit et être complètement paumé pendant quelques secondes.

 

_ Les gens qui mangent des pop-corns au cinéma. Du coup, forcément, il y en a toujours un qui vient s'installer autour de moi.

 

_ Et dans le train, il doit y avoir une loi qui stipule que je dois toujours être entouré d'au moins un bébé turbulent, si jamais le chien qui pue n'est pas disponible.

 

_ Les gens qui mettent "l'hypocrisie" ou "la faim dans le monde" dans leur "J'aime pas". 

 

_ L'hypocrisie.

 

_ La faim dans le monde.

 

_ Les vers de terre. Mon cauchemar.

 

_ Les piqûres. Mon deuxième cauchemar.

 

_ Les crapauds. Le côté visqueux me dégoûte.

 

_ L'expression "Je me comprends, c'est l'essentiel".

 

_ L'allergie aux cyprès qui me pourrissait la vie (nez qui coule, yeux qui grattent et argh! palet qui chatouille) en début d'année lorsque je vivais dans le sud.

 

_ Les boissons gazeuses.

 

_ Quand quelqu'un dit: "C'est pas mal pour un film français".

 

_ Les gens pour qui les examens ne marchent jamais et qui finissent toujours par avoir minimum 15 de moyenne. A croire que c'est la honte de réussir un examen.

 

_ Les poignées de main molles.

 

_ Les gens qui rient pour rien.

 

_ Le fait que "toutes les bonnes choses ont une fin".

 

_ Les gens qui ne répondent pas à "ça va et toi?".

 

_ Les mauvais perdants.

 

_ Perdre.

 

_ Les cornichons dans le Big Mac.

 

_ Recevoir un texto publicitaire.

 

_ Le fait que dans les films, les sbires méchants soient à chaque fois incapables de tirer sur le gentil. Je me demande comment ils ont été recrutés.

Et dans le même ordre d'idées, les méchants qui, même s'ils sont a priori censés s'être entraînés toute leur vie, ne se relèvent pas après une balayette anodine du gentil qui lui, est toujours d'attaque après avoir percuté 35 fois les murs.

Enfin, le héros qui se retrouve à court de munitions alors qu'il vient d'éradiquer 287 ennemis surarmés.

 

_ Faire une belle rature sur le dernier mot d'une lettre manuscrite.

 

_ Les gens qui s'auto-déclarent "grande gueule" ou "rebelle". 

 

_ Les toilettes à la Turque.

 

_ Quand la réplique qui tue me vient 10 minutes après le moment où elle aurait dû sortir.

 

_ Qu'Une Nuit en Enfer et The Crow aient eu droit à deux suites complètement nulles et inutiles. Sacrilèges.

 

_ Les gens qui ne laissent pas passer en voiture et qui regardent droit devant pour faire genre ils n'ont pas vu.

 

_ Les femmes qui mettent du crayon autour des lèvres.

 

_ Le langage sms abusif.

 

_ Éternuer en plein virage au volant.

 

_ Quand je n'ai pas la place de mettre correctement les jambes dans une petite salle de ciné et que je suis obligé d'être recroquevillé.

 

_ Les ouvertures faciles de conditionnement qui nécessitent 3 mains et la force d'Hulk pour être ouvertes.

 

_ Les comparatifs dans les magazines qui se concluent par "ça dépend de vos goûts". (Oh sans déconner?!)

 

_ Quand je parle à quelqu'un au téléphone (il se reconnaitra) et qu'au bout d'un moment, j'entends la chasse d'eau.

 

_ La vulgarité.

 

_ Les spams.

 

_ Quand je mets 100 ans à trouver mon nom sur une liste de résultats d'examen (bon, le dernier examen, il remonte justement à 100 ans, vieux que je suis).

 

_ Le fait que l'adage "trop bon, trop con" soit trop souvent vérifiable.

 

_ Les fautes d'orthographe.

 

_ Un cheveu (ou autre intrus du genre) dans un plat et c'est mon appétit qui s'en va.

 

_ Les ongles rongés jusqu'au sang et les ongles noirs.

 

_ Quand on me confie, à la fin d'un repas, que je viens de manger de la langue ou autre truc peu ragoûtant du genre. Fourbe.

 

_ Être réveillé par une bonne vieille crampe.

 

_ Quand, l'été, les moustiques se font un "happy hour" sur mon corps et que ces connes de mouches se tapent inlassablement la gueule contre la fenêtre pendant que j'essaie de m'endormir.

 

_ 1/ Recevoir un postillon en pleine figure (n'importe où en fait) et 2/ devoir attendre par politesse que la personne se retourne pour pouvoir s'en débarrasser (du postillon, pas de la personne).

 

_ Les gens qui jettent des ordures sur la voie publique comme si c'était tout à fait normal.

 

_ Avoir un mot sur le bout de la langue et qu'il s'y sente tellement bien qu'il refuse de sortir.

 

_ Me rendre compte trop tard qu'un morceau de persil s'était incrusté dans mon sourire (heureusement c'est pas souvent) (enfin j'espère...).

 

_ Quand mes anticorps font mal leur boulot.

 

_ Être à côté d'une personne qui pue dans un lieu public car 1/ ça pue, 2/ j'ai toujours peur que les gens pensent que c'est moi (et promis c'est pas moi) :)

 

_ Éplucher les oignons.

 

_ Les yaourts aux cerises.

 

_ L'image/cliché "franchouillarde" (bérêt/baguette/fromage) qu'ont les étrangers des Français.

 

_ L'image/cliché "beauf" (pastis/OM/pétanque) qu'ont les Français des Marseillais.

 

_ Vivant à Paris, être fréquemment confronté à du marketing pro-PSG.

 

_ Les barres et poignées crasseuses et/ou (souvent "et") visqueuses dans le métro.

 

_ Acheter des préservatifs en pharmacie ou supermarché.

 

_ Le froid et les courants d'air.

 

_ Les gens qu'il faut relancer plusieurs fois avant d'obtenir quelque chose.

 

_ Dans le train, toujours tomber en face d'une gamine qui met des coups de pieds et qui passe son temps à brailler ou à côté d'un vieux qui ramène son vieux chien qui pue (à moins que ce soit le vieux...). 

 

_ La lâcheté des connards qui provoquent des personnes seules lorsqu'ils sont en groupe.

 

_ Les gens bizarres qui me font des sourires bizarres dans le métro.

 

_ Me taper le coude, le genou ou le tibia sur un coin de table (et je le fais régulièrement histoire de me rappeler que j'aime vraiment pas ça).

 

_ Les films qui ressemblent à des clips MTV.

 

_ Les gens qui ne répondent pas au téléphone quand ils ne connaissent pas le numéro.

 

_ La superstition.

 

_ Passer sous un échafaudage.

 

_ Réussir l'exploit de m'enrhumer l'été (ça doit être ça mon super pouvoir X-Men...)

 

_ Les gens qui disent: "Ils croiVent...".

 

_ Et ceux qui écrivent "Comme même", je crois que je m'en taperais la tête contre le mur (ou plutôt je taperais le mur avec la tête de la personne en question) (plus safe).

 

_ Ne pas oser aborder une personne et le regretter ensuite.

 

_ Me moucher en public (remarquez, même en privé, c'est pas une passion).

 

_ Les cachets effervescents.

 

_ Commencer une action et en oublier rapidement la raison. Heureusement, c'est rare parce que je me sens alors très con.

 

_ Les embouteillages.

 

_ Quand le réveil sonne et que je ne comprends pas ce qui m'arrive.

 

_ Les promotions qui sont au même prix normal ailleurs.

 

_ Les personnes qui vous insultent si vous avez le malheur de refuser qu'on vous nettoie le pare-brise à un feu rouge. Ou celles qui insistent même après un refus (et qui n'oublient quand même pas de vous insulter après).

 

_ Les déviations, routes barrées, manifestations, personnes qui se garent (mais qui s'y prennent évidemment en 5 fois) ou camions de poubelle quand vous êtes pressé. Classique et très efficace...

 

_ Les gens foireux. Et donc les plans foireux...

 

_ Les filles qui disent: "j'm'en bats les couilles!". Bizarre...

Dans le même ordre d'idées, les gens qui disent "je m'emballe les couilles". Faudrait qu'on m'explique l'intérêt de la chose et leur technique d'emballage, juste par curiosité.

 

_ Galérer pour ouvrir un sac plastique à la caisse d'un supermarché.

 

_ Les gens qui mangent la bouche ouverte. Et plus globalement les bruits de bouche à table.

 

_ Les nuits qui précèdent les examens ou la première d'une pièce. Elles sont toujours nulles. Elles ne devraient pas exister...

 

_ Quand quelqu'un lit par dessus mon épaule dans le métro.

 

_ Les ressources inépuisables de la bêtise humaine. Et elle me surprend tous les jours un peu plus. 

 

_ Les gens qui s'envoient des fleurs en dressant la liste de leurs défauts: trop gentil, caractériel, franc, ambitieux, perfectionniste...

 

_ Quand un morceau de nourriture, évidemment accompagné de sauce tomate, arrive à s'échapper de la fourchette pour se précipiter très exactement à l'endroit de votre T-Shirt blanc tout propre que la serviette ne recouvrait pas. Rageant hein?

 

_ Qu'on m'appelle "le parisien" quand je redescends sur Marseille.

 

_ Me cogner la valise contre la cheville quand je la fais traîner derrière moi.

 

_ Le "couic couic" (je le fais beaucoup mieux en vrai) que font les chaussures neuves sur le carrelage.

 

_ Être à la bourre (et pourtant...).

 

_ Les gens qui parlent fort au téléphone dans le métro ou ceux qui regardent des vidéos le son à fond dans le train.

 

_ Le fait que les bons moments passent à la vitesse de la lumière et les mauvais durent trois plombes. C'est mal foutu.

 

_ Britney, qu'est-ce que tu deviens?!

 

_ Les gens qui se lèchent le pouce avant de tourner une page. 

 

_ Et Pierre-Yves qui se lèche le pouce toutes les 2 minutes quand on joue à la console pour (apparemment) que ça glisse mieux sur la croix directionnelle de la (ma!) manette. (il est le seul à faire ça, je comprends pas)

 

_ Les rideaux de douche en plastique qui collent quand on se lave.

 

_ La fourberie des photomatons qui se débrouillent toujours pour vous donner une sale tronche de taulard (en tout cas pour moi).

 

_ Avoir l'impression de passer mon temps à faire la vaisselle.

 

_ Devoir expliquer une blague.

 

_ Entendre le « ding » d’un micro-ondes quand je suis au resto.

 

_ Le fait que même Loïs Lane soit incapable de faire le rapprochement entre Clark Kent et Superman à cause d'une malheureuse mèche et d'une paire de lunettes.

 

_ Les voisins qui s'amusent avec la perceuse le samedi à 8h.

 

_ Et ma voisine du dessous qui chante beaucoup trop souvent (et pas très bien) de l'opéra et des chansons asiatiques.

 

_ Quand la douche passe au brûlant ou au glacé sans prévenir.

 

_ Avoir les oreilles qui se bouchent dans un tunnel.

  

_ Rentrer dans des toilettes publiques et y retrouver "l’œuvre" de mon prédécesseur. Charmant.

 

_ Quand j'ai super sommeil et que j'attends qu'une chose: aller me coucher, et une fois dans le lit, ne plus avoir sommeil. 

 

_ Lécher une enveloppe pour qu'elle colle.

 

_ Les gens sans volonté.

 

_ Quand je mets une petite barre chocolatée dans le sac et que je la retrouvée toute fondue ou écrasée.

 

_ Croquer dans un os et avoir l'impression de se casser une dent. Petit coup de pression pendant quelques secondes...

 

_ Les caprices.

 

_ Les gens qui ne se lavent pas les mains après être allés aux toilettes. C'est quand même pas la mer à boire...

 

_ Les chaussures qui collent dans les fast-foods.

 

_ Attendre le résultat d'un test de dépistage. 

 

_ La conversion crapuleuse des prix depuis le passage à l'euro.

 

_ Cette sale manie qu'a la vessie de se manifester à des moments où il faudrait qu'elle reste tranquille.

 

_ Le "Malgré tout l'intérêt que porte votre candidature...".

 

_ Les gens qui appellent les autres par le nom de famille.

 

_ La poussière: c'est vraiment le truc qui ne sert qu'à une chose: faire chier. Et qui le fait très bien.

 

_ Les gens qui disent "Ui" au lieu de "Oui" et "pAtatoes" au McDo.

 

_ Quand mon cousin L.D. me demande de descendre jeter ses poubelles quand je passe le voir.

 

_ Quand mon cousin L.D. refuse de descendre jeter mes poubelles quand il passe me voir.

 

_ Les cols roulés et écharpes qui grattent.

 

_ Les gens qui se permettent de faire ou dire des choses et qui le prennent mal quand on fait la même chose avec eux. Pas très fair-play...

 

_ Les gens qui crachent dans la rue. Et pour ne rien gâcher, ils le font généralement avec la discrétion d'un sanglier pas bien élevé.

 

_ Casser de beaux œufs de Pâques. 

 

_ Les gens qui souhaitent un joyeux anniF... La logique m'échappe...

 

_ Penser à la mort.

 

_ Quand, lors d'un concert, l'artiste sort systématiquement que le public de ce soir est, sincèrement, le plus incroyable et chaleureux de toute la tournée. Ou alors j'ai une chance phénoménale d'être toujours là au meilleur moment. Mais bon...

 

_ Quand l'alarme sonne à mon entrée ou sortie d'un magasin. Je me tape chaque fois la honte. Alors que j'ai rien volé (promis).

 

_ Les gens qui se croient drôles et originaux en demandant la soustraction au restaurant.

 

_ Et ceux qui appellent Leonardo Di Caprio -> "Di Carpaccio".

 

_ Ces filles qui semblent être fières de se dire "chieuses" (mise à jour: c'est "attachiante" maintenant). Pourtant, non, ce n'est pas une qualité et non, ce n'est pas mignon.

 

_ Le fait que Laura fracasse toujours Nicky Larson quand il est sur le point de conclure.

 

_ La désagréable impression que les mioches de l'école primaire en bas de chez moi passent leur journée en récréation. Et qu'ils se régalent à me le faire remarquer...

 

_ L'horripilante expression "Noyeux Joël".

 

_ Les gens qui klaxonnent pour un rien.

 

_ Recevoir un mail ou texto collectif. Par définition, complètement impersonnel.

 

_ Martyriser mes tympans lorsque je jette des bouteilles en verre dans les conteneurs prévus à cet effet.

 

_ Les sous-titres qui restent blancs sur un fond blanc. Pas ce qu'il y a de plus efficace niveau lisibilité.

 

_ Les gens louches qui posent des valises louches sous le siège voisin dans le train avant de s'éclipser.

 

_ La parano.

 

_ Manger un produit (fraîchement) périmé. Même si, "en général, c'est bon encore une semaine". Ça doit être le "en général" qui me perturbe.

 

_ Les scouts et leur face de Carême. C'est purement gratuit je reconnais mais ils me crispent.

 

_ Les piercings sur le visage et à des endroits qui donnent la chair de poule.

 

_ La légende urbaine de la dame blanche qui m'a traumatisé quand j'étais petit.

 

_ Ma piètre oreille musicale et mes capacités en chant qui rendraient fière n'importe quelle casserole.

 

_ Être seul dans l'ascenseur avec un voisin à qui je n'ai rien à dire.

 

_ Quand tu te demandes à quelqu'un si il peut te prendre une photo et que tu découvres une horreur cadrée avec les pieds.

 

_ La foule.

 

_ Les gens qui se collent au dernier moment sans rien demander pour frauder le métro et qui sont en général aussi sympathiques qu'une porte de prison.

 

_ Les longues hésitations au moment de faire la valise.

 

_ Les gens qui sont au cinéma comme devant leur télé et qui ne peuvent s'empêcher de faire des commentaires (bien souvent inutiles).

 

_ Quand Ju. P. dit qu'il arrive alors qu'il n'est pas encore parti de chez lui.

 

_ Etre a priori très content d'une photo et la retrouver floue sur l'ordi.

 

_ Les gens qui ne vont pas bien même quand tout va bien.

 

_ Quand je ne sais pas si c'est mieux de faire la bise ou serrer la main. Ça donne une petite séquence d'hésitation un peu embarrassante.

 

_ Les gens qui ne désactivent pas le bip des touches sur leur portable.

 

_ Attendre jusqu'à la fin d'un générique et qu'il n'y ait pas de scène bonus.

 

_ Les gens qui n'aiment pas les silences et se sentent donc obligés de combler inutilement.

 

_ Les commerçants qui n'ont rien de commerçant.

 

_ Les jets de douche sans pression.

 

_ Les gens qui font la caricature de l'accent du sud quand je leur dis que je viens de Marseille et qui n'oublient évidemment jamais de caser "peuchère" et "Bonne Mère"...

 

_ Hum... Les personnes qui ont des poils qui sortent des oreilles. Et, en général, je bloque dessus.

 

_ Pourquoi chaque fois qu'on me demande de prêter mon téléphone dans le métro ou la rue, la personne a une tête de tueur en série qui n'a pas les meilleures intentions du monde?

 

_ Les personnes qui n'oublient pas de caser un "je plaisante ahah" après une vanne évidente.

 

_ Les femmes qui ont un piercing à la langue et qui se sentent obligées de poser sur chaque photo avec la langue tirée.

 

_ Rentrer en noctilien. Pour sa faune peu recommandable.

 

_ J'ai du mal avec les scènes d'opération à l'écran (NIP/TUCK, par exemple, en regorge). OK, j'avoue, je regarde ailleurs ou je me tortille dans tous les sens. Fillette.

 

_ Le peu de crédit et de considération accordés aux scénaristes.

 

_ L'incroyable manque d'attention et de savoir-vivre d'une grande partie de la population.

 

_ Les inconnus qui m'appellent "chef".

 

_ Les respirations incessantes du chanteur de Muse entre chaque parole. Je bloque dessus et ça me crispe. Testez "Feeling Good", "Hysteria" ou "Time is running good" et vous m'en direz des nouvelles...

 

_ Les gens qui annoncent, fiers, "je suis moi et c'est déjà pas mal!". Oh sans déconner?! Et puis c'est un peu le minimum syndical coco hein...

 

_ Les éviers trop bas. Pas idéal pour faire la vaisselle. Alors déjà que ce n'est pas passionnant, si en plus il faut se casser le dos...

 

_ Prendre le parapluie. Et la pluie par la même occasion.

 

_ Sortir d'un casting et me dire que j'aurais dû dire ou faire ceci ou cela.

 

_ Les minutes de pause qui passent scandaleusement plus vite que les minutes de boulot.

 

_ Oublier l'endroit où j'ai posé un objet "pour ne pas l'oublier" (.............).

 

_ Les personnes qui utilisent 8 phrases pour dire quelque chose compréhensible en 4 mots.

 

_ Fergie des Black Eyed Peas.

 

_ Scarifications, suspensions et toute autre pratique du genre qui me fait froid dans le dos rien qu'en les évoquant.

 

_ Solliciter l'avis de P-Y pour un vêtement et qu'il finisse par acheter le même.

 

_ "Sérieux, t'es comédien?! Vas-y pleure pour voir. (.......) Fais moi rire alors. (......) Fais moi un monologue. (.......), Ou fais la fleur! (.........) etc..."

 

_ Les footballeurs qui, à chaque transfert, signent dans le club de leur coeur.

 

_ Quand j'ai mal à un endroit, je suis à peu près sûr de le taper sur tout objet se trouvant à ma disposition dans mon environnement.

 

_ Christophe Maé.

 

_ Mon sommeil très léger.

 

_ Les questions très pertinentes de certains journalistes sportifs: "Alors, heureux d'avoir gagné?".

 

_ Dans le même ordre idée, cette expression toute faite (lorsqu'un joueur sur le départ reste finalement dans son club) utilisée 20 fois par jour en période de transferts: "X parti pour rester".

 

_ Les personnes qui n'y connaissent rien au foot et qui se sentent obligés de faire une remarque chaque fois que l'OM perd ("des chèvres!") et qui ne disent rien quand l'OM gagne (ou alors "Vous avez payé l'arbitre").

 

_ A l'époque de ma licence, la comptabilité. Impossible de me concentrer plus d'1min30 dessus tellement ça ne m'intéressait pas.

 

_ Les gens qui raccrochent au nez immédiatement après qu'on leur ait appris qu'ils se sont trompés de numéro.

 

_ Les gens qui disent bonjour comme si ils annonçaient une mauvaise nouvelle.

 

_ Ouvrir à chaque fois la boîte de médicaments du côté de la notice.

 

_ Les gens à qui il ne faut pas parler le matin.

 

_ Ne pas arriver à parler quand j'ai le menton gelé à cause du froid.

 

_ Avoir l'impression de sacrifier une dent lorsque je mange un carambar classique.

 

_ Les gens qui "likent" leur propre statut facebook.

 

_ Le Paris-Saint-Germain. C'est viscéral. 

 

_ Jean-Michel Aulas.

 

_ Les "rigolos" qui s'amusent à faire "chut" en canon avant le début d'un film.

 

_ Me forcer à avoir l'air satisfait en sortant de chez le coiffeur.

 

_ Entendre le bruit et sentir les vibrations du métro pendant un film projeté à l'UGC Orient Express (PS: le problème est réglé, le cinéma n'existe plus).

 

_ Les tables possédant une barre au niveau de l'emplacement des genoux.

 

_ Les gens qui s'endorment très rapidement et qui ronflent. Rien de plus fourbe.

 

_ Quand une paire de chaussures en 45 est plus chère que les tailles en dessous.

 

_ Les erreurs d'orthographe, de frappe ou de traduction de plus en plus fréquentes dans les sous-titres de films et séries.

 

_ Lorsque, parfois, dans les centres commerciaux, un type est chargé de parler des promotions des différentes marques au micro et qu'il tchatche non stop.

 

_ Les ampoules qui suivent la première journée d'une nouvelle paire de chaussures ou de la reprise du football.

 

_ Les gens qui appuient douze fois sur le bouton de l'ascenseur en espérant que ça le fera descendre plus vite.
Et ceux qui arrivent après toi et qui appuient quand même au cas où quand c'est toi, ça ne marche pas.

 

_ Les personnes qui vident leur flacon de parfum à chaque utilisation.

 

_ Les gens qui entrent comme des bourrins avant de laisser les autres sortir, c'est déjà insupportable mais alors dans un ascenseur ça frise la connerie intersidérale.

 

_ Quand une personne me dit qu'elle adore lire (je m'emballe, j'adore parler de bouquins) puis qu'elle me dit qu'elle est fan de Marc Levy ou Guillaume Musso.

 

_ Les fois où je ne sais pas si il faut tutoyer ou vouvoyer une personne et donc passer par des stratagèmes tarabiscotés pour tourner la phrase sans avoir à employer les pronoms.

 

_ Qu'on me serve un verre d'eau dans un verre ayant précédemment contenu une autre boisson.

 

_ Quand mon frigo sent une vieille odeur de fromage.

 

_ Pourquoi les vêtements noirs sont toujours tachés en blanc et les vêtements blancs tâchés en noir ?

 

_ Les glaçons sous les pieds en plein dance floor.

 

_ Les gens qui confondent la timidité et l'arrogance.

 

_ Pouvoir lire "ah tu dois donc être capricieux, égoïste et pourri gâté" derrière le "ah tu es fils unique?".

 

_ Couper du scotch avec les dents.

 

_ Pourquoi le méchant se sent toujours obligé de raconter sa vie au gentil juste avant de l'achever?

 

_ Le fait que P-Y marche systématiquement un mètre derrière moi, quelle que soit ma vitesse de croisière.

 

_ Les coudières sur les vêtements.

 

_ Quand une pensée monopolise mon attention et qu'il est impossible de me concentrer pour lire. Du coup je lis sans lire.

 

_ Dans la mer, marcher sur des algues.

 

_ Les gens qui répondent "Bah c'est pas le film du siècle quoi..." quand on leur demande leur avis sur un film.

 

_ Ne plus pouvoir utiliser l'adverbe "bref" sans avoir l'air de faire référence au (très bon, au demeurant) programme court du même nom.

Et les gens qui font tout le temps des phrases en utilisant le même modèle que le programme sus-cité.

 

_ Le beurre cacao.

 

_ Les languettes de baskets qui partent constamment de traviole.

 

_ Les étiquettes de prix placées sur les informations intéressantes.

 

_ Que les amateurs de rugby soient incapables d'apprécier leur sport favori sans dénigrer le foot. Et entendre inlassablement les mêmes commentaires réducteurs et clichés: "que des danseuses", "trop de pognon", "que des abrutis", "moi je leur filerais un ballon chacun", etc...

 

_ Les gens qui transforment Facebook en "Fesse book" ou "face de bouc".

 

_ Les gens qui restent au milieu dans les escalators.

 

_ Les trous d'air pendant les voyages en avion. 

 

_ Les commentaires de Christian Jeanpierre, c'est plus possible.

 

_ La frangipane (et j'aime pas le mot non plus).

 

_ Le fait que 90% des meubles chez Ikea s'appellent Bestä. Pratique pour s'y retrouver...

 

_ Quand le coiffeur parle à quelqu'un ou regarde ailleurs tout en continuant à couper les cheveux.

 

_ Les commerçants qui mangent des chewing-gums et ceux qui me tutoient direct.

 

_ Aller systématiquement au boulot en courant parce que je suis incapable de partir en avance.

 

_ Être proche de l’overdose olfactive quand je passe devant un Séphora (et non, je ne veux pas sentir vos échantillons!). 

 

_ Voir quelqu'un se mettre des lentilles (le truc qu'on fout dans les yeux, hein, pas les bouboules vertes).

 

_ Quand le pilote de l'avion demande également au personnel de s'attacher.

 

_ Garder la place de quelqu'un en retard au cinéma.  Car il faut dire 25 fois que la place est déjà prise et on se dévisse la tête toutes les 12 secondes pour voir si la personne arrive.

 

_ La marque Abercrombie.

 

_ L'odeur et le goût des bananes trop mûres.

 

_ Les gens très mal à l'aise qui, du coup, mettent mal à l'aise.

 

_ Mec, t'es vraiment en train de te couper les ongles à côté de moi dans le métro là?

 

_ Oublier partout mon parapluie.

 

_ M'accrocher les cheveux dans la tige de ce foutu parapluie.

 

_ Le jus d'orange frais ou le smoothie maison tous les matins, c'est génial mais laver le presse-agrumes et le blender tous les matins, c'est moins sympa.

 

_ Quand on doit se faire livrer un colis à domicile et que la fourchette de livraison est entre 8h et 17h...

 

_ Les gens qui serrent la main tout en regardant ailleurs.

 

_ Bloquer sur les tics de langage des gens et ne plus entendre que ça. Genre les personnes qui, genre, casent "genre" dans genre toutes leurs phrases. Genre.

 

_ Les socquettes (oui j'ai vérifié l'orthographe) d'été qui glissent sous la plante du pied quand je marche.

 

_ Chaque fois que je suis en retard pour prendre mon train (c'est-à-dire tout le temps) et que j'arrive en sueur sur le quai, être systématiquement placé dans le wagon le plus éloigné, celui qui est à 3 km.

 

_ Mettre une semaine de plus de vêtements dans ma valise. Au cas où.

 

_ Les gens qui posent fièrement pour une photo à côté d'animaux drogués. Et ne parlons pas des trophées de chasse...

 

_ Le combo maléfique: vent + pluie + parapluie qui se retourne.

 

_ Les êtres humains (?) qui ne comprennent pas que des familles fuient leur pays en guerre. 

 

_ De même, le concept de racisme ou d'homophobie me dépasse.

 

_ Anna Gunn, qui joue Skyler, dans Breaking Bad. C'est physique je pense, ça ne s'explique pas mais chaque fois qu'elle apparaissait à l'écran, elle m'énervait.

 

_ IKEA durant le week-end. Un avant-goût de l'enfer.

 

_ Les câpres.

 

_ Les lumières des sorties de secours dans les salles de cinéma. Si j'ai le malheur de les remarquer pendant les bandes-annonces, j'ai du mal à en faire abstraction par la suite.

 

_ Faire le copilote avec un GPS.

 

_ Les photos avec filtres Snapchat.

 

_ Oublier de temps en temps ce bon vieux petit mouchoir en papier dans la poche d'un pantalon au moment où je lance une lessive.

 

_ Faire des selftapes. Je préfère les castings en live.

 

_ Comme je vais très souvent au cinéma, revoir sempiternellement les mêmes bandes-annonces.

 

_ Quand un démarcheur au téléphone n'a pas oublié de me rappeler quand je lui dis que je ne suis pas disponible avant la semaine suivante. 

 

_ Le manque de nuances et d'empathie de notre société.

 

_ Quand une nouvelle de saison d'une série que j'aime bien sort de longs mois plus tard alors que j'ai la sensation que ce n'est pas nécessaire.

 

_ Acheter une barquette de fraises et les retrouver toutes moisies dès le lendemain.

 

_ Les gens qui gardent leur sac à dos sur le dos quand une rame de métro est bondée.

 

_ Les annonces casting qui stipulent "rémunération prévue". Oui mais combien ? :)